313 résultats pour "maison+d+or"
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je n'ai songé qu'à toi ...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Quand je suis à tes pieds ...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - En printemps ...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Ténèbres
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Hyacinthe
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Matin sur le port
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Blotti comme un oiseau
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Son rêve fastueux ...
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- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Les chimères) - A Louise d'Or., reine
- Pour une maison d'édition qui souhaite publier Rhinocéros (d'Eugène Ionesco), vous rédigerez une préface destinée à souligner les points intéressants de la pièce ?
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Comme une grande fleur ...
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Age d'or
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je t'aime, loin de toi ...
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je cherche les endroits ....
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - L'agréable leçon
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Comme un père en ses bras ....
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- « J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or », écrit Baudelaire dans un projet d'épilogue des Fleurs du Mal. Dans quelle mesure ce vers rend-il compte de son écriture poétique ?
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Une douceur splendide et sombre
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Ce soir, ta chair malade ...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La maison de verre) - A la limite de la lumière et de l'ombre
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La maison de verre) - Les pieds nus de ma poésie
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La maison de verre) - Ton visage est le mot de la nuit étoilée
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Analyse extrait mouche d'or Nana de Zola Faiza.docx
Analyse extrait mouche d'or Nana de Zola Faiza.docx Zola incarne le mouvement réaliste puis naturaliste du 19e siècle. Dans son cycle Les Rougons Macquart, il dépeint les maux qui rangent la société sous le second Empire. C’est dans cette perspective qu'il se penche de très près sur la figure de la «cocotte» dans Nana, 9e roman de se cycle. Cet extrait du chapitre VII survient quand le comte Muffat qui fréquente Nana depuis trois mois s’apprête à lui lire l’article intitulé La Mouche d’o...
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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- Vous trouvez au cours d'un déménagement de votre maison, des lettres ou un journal intime appartenant à votre arrière-grand-père. Il y raconte une histoire très intéressante et vous voulez donc le faire publier. Rédigez la préface de cet ouvrage ?
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - J'aime l'aube aux pieds nus qui se coiffe de thym
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Vigny (1797-1863) LA MAISON DU BERGER Poème du recueil posthume Les Destinées, fragment (vers 22 à 42)
LA MAISON DU BERGER Poème du recueil posthume Les Destinées, fragment (vers 22 à 42) Pars courageusement, laisse toutes les villes ; Ne ternis plus tes pieds aux poudres du chemin ; Du haut de nos pensers vois les cités serviles Comme les rocs fatals de l'esclavage humain. Les grands bois et les champs sont de vastes asiles, Libres comme la mer autour des sombres îles. Marche à travers les champs une fleur à la main. La Nature t'attend dans un silence austère ; L'herbe élève à tes pie...
- L'écrivain Cocteau (1889-1963) définit ainsi la poésie : « L'espace d'un éclair nous voyons un chien, un fiacre, une maison pour la première fois. Voilà le rôle de la poésie. Elle dévoile dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement. Mettez un lieu commun en place, nettoyez- le, frottez-le,éclairez-le de telle sorte qu'il frappe avec sa jeunesse et la ave
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - Et maintenant nuit ...
- FORMATION ET DÉVELOPPEMENT DU SYMBOLISME
- JEAN-JACQUES ROUSSEAU, Les Confession
- Flaubert, L'Éducation sentimentale, 1e partie, chapitre 5
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- Mérimée, La Vénus d'Ille.
- Gautier, La fleur qui fait le printemps
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - La fleur qui fait le printemps
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Mugitusque boum
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ce soir après la pluie est doux...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le menuisier
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les orientales) - Lazzara
- La Bruyère, Les Caractères ou les moeurs de ce siècle. De la mode.1688. Les curieux
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - Le meunier
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - La Lys
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Ô bien heureux qui peut passer sa vie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Laissez. - Tous ces enfants sont bien là
- Diderot, Les Deux Amis de Bourbonne (1770)
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Toute la Flandre) - Les pas
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La mort
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Emile ZOLA, La Curée, 1871.
[Introduction] Le premier roman du cycle des Rougon-Macquart avait raconté les répercussions du coup d'État du 2 décembre dans une petite ville du Midi. Dans le deuxième, La Curée, Zola transporte la scène à Paris, y peint la frénésie des affaires et y campe le portrait d'un arriviste, Aristide Rougon. Doué de « ce flair des oiseaux de proie qui sentent de loin les champs de bataille », il prend le nom de Saccard et le voilà « brasseur de millions » et propriétaire d'un magnifique hôtel particul...
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- Montesquieu, Lettres persanes - Lettre XXIV
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la Malibran









