1137 résultats pour "contr+amours"
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« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouven
« Nous autres, écrivains du XXe siècle, ne serons plus jamais seuls. Nous devons savoir au contraire que nous ne pouvons nous évader de la misère commune, et que notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire... Il n'y a pas pour l'artiste de bourreaux privilégiés... » A. Camus, Discours de Suède. La littérature a-t-elle attendu le XXe siècle pour lutter contre les bourreaux? Vous avez lu des textes qui prouvent le contr...
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - L'échanson
- Antoine HEROËT (1492-1568) - La parfaite amie
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - L'esclave et l'oiseau
- Etienne DURAND (1586-1618) - Chanson
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Ischia
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Louise Labé
C'est son père, riche cordier lyonnais, Pierre Charly, qui est dit Labé. C'est à lui que Louise doit une éducation qui lui vaut de savoir le latin, l'italien, de savoir chanter et s'accompagner d'un luth, de maîtriser l'art de l'équitation et celui des armes. Il semblerait que, travestie en homme, elle ait, en 1542, participé au siège de Perpignan. C'est à son mariage avec Ennemond Perrin, cordier, qu'elle doit son surnom de “ Belle Cordière ”. Si son mari meurt vers 1555 ou 1557, c'est avant sa...
- Jules BARBEY D'AUREVILLY (1807-1889) (Recueil : Poussières) - La Maîtresse rousse
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- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Soleil et chair
- Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782), Lettre 10 (extrait)
- Etienne DURAND (1586-1618) - Stances de l'absence
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui de qui l'amie a fait nouvel ami
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Aragon, Le Roman inachevé, Que serais-je sans toi
Aragon, Le Roman Inachevé, « Que serais-je sans toi ? » Introduction : Louis Aragon est célèbre en particulier pour son appartenance au groupe surréaliste qui fut pour lui un point de départ bien plus qu’un système ou une doctrine. Il puise son inspiration dans les recherches des surréalistes mais rapidement, dès 1932, il rompt avec les surréalistes pour des motifs à la fois politiques et esthétiques. Aragon revendique en particulier une totale liberté d’invention. Contrairement, aux surréaliste...
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Les floraisons matutinales) - A celle que j'aime
- Alain Bosquet, « Défense du poète »
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Robert Desnos - Extrait de "Corps et Biens"
Pistes méthodologiques Analyser le texte • Ce poème de Robert Desnos est un poème en prose de registre lyrique. La répétition au début de quatre paragraphes de la proposition « J'ai tant rêvé de toi... » (anaphore) y exprime l'enva¬hissement du rêve amoureux : le poète est entièrement habité, obsédé par la pensée de la femme aimée. • On comprend que le poète, en l'absence de la femme aimée, a cherché à l'évoquer, à lui donner corps par sa seule pensée mais avec des conséquences inverses de celle...
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- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Quel pas sur le pavé boueux
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) - L'orgueil
- Antoinette DESHOULIÈRES (1638-1694) - Entre deux draps
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Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : Epigrammes) - De soi-même
Clément MAROT, Épigrammes, « De soi-même ». 1. Plus ne suis ce que j'ai été, 2. Et ne le saurais jamais être. 3. Mon beau printemps et mon été 4. Ont fait le saut par la fenêtre. 5. Amour, tu as été mon maître, 6. Je t'ai servi sur tous les Dieux. 7. Ah si je pouvais deux fois naître, 8. Comme je te servirais mieux ! Clément MAROT (1497-1544) : un des premiers grands poètes classiques français. Clément Marot, le fils de Jean des Marets dit Marot poète à la cour de Louis XII, commence très tôt...
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Albertus) - Albertus, XLIX
- Vincent VOITURE (1597-1648) - Lors qu'avecque deux mots que vous daignâtes dire
- Honoré d' URFÉ (1567-1625) (Recueil : L'Astrée) - Qu'il connaît qu'on feint de l'aimer
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies posthumes) - A George Sand (III)
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"Le théâtre, c'est d'être réel dans l'irréel", écrit Jean Giraudoux dans l'Impromptu de Paris. Comment expliquez-vous ce jugement? Votre développement sera argumenté d'exemples pertinents, précis et variés ?
Le théâtre => renvoie au réel ou évasion ? a-t-il pour vocation de reproduire la réalité Le théâtre repose sur l'illusion, l'artifice => spectacle. L'artifice, la représentation peuvent-ils représenter le réel ? Par l'illusion, la représentation, le théâtre peut-il exprimer le réel ? I- Le théâtre, pays de l'illusion, pays de l'irréel Le théâtre est le monde de « l'illusion comique », tout est feint, rien n'est a priori vrai. A- Les conditions de la représentation • Proximité physique des acteur...
- Claude MALLEVILLE (1596-1647) - Cloris dont la présence à mes yeux est si chère
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Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Méditations poétiques) - Le lac
Commentaire composé du poème « Le Lac » de Lamartine Introduction : Le poème « Le lac » est extrait du recueil des Méditations Poétiques de Lamartine publié en 1820. Dans ce poème, Lamartine évoque ses souvenirs avec sa maîtresse, Julie Charles, récemment décédée, avec qui il avait visité ces lieux autrefois. Les souvenirs du poète revenant sur ce lac ne sont en rien altérés par le temps passés. Lamartine exalte dans ce poème lyrique les thèmes chers aux romantiques : la nature, l’amour déchu, l...
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - Hé ! qu'est cela, Seigneur ? ...
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Les mois) - Mai
- Isaac de BENSERADE (1613-1691) - Madame, je vous donne un oiseau pour étrenne
- « UN FEU SANS TACHE » - Poème de Paul Eluard
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si tu veux sûrement en cour te maintenir
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Oral – Princesse de Clèves (EAF)
Oral – Princesse de Clèves • Parce que c’est un roman historique et que c’est un genre qui me plaît :j’aime l’Histoire, la petite histoire celle des passions et la grande Histoire , celle des alliances politiques et des chroniques de la royauté ; Ce ce roman m’a plu car il contient justement ce mélange entre les deux dimensions de l’histoire des hommes. C’est une sorte de métissage , un mélange réussi entre la dimension historique et la dimension imaginaire avec le personnage de la P...
- Jean BERTAUT (1552-1611) - Elégie (1)
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Le regret des joujoux
- Isaac HABERT (1560-1615) - Nuit fille de la terre, amène tes flambeaux
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : La vertu par le chant) - Récompense
- Jean GODARD (1564-1630) - Un peu devant le jour quand l'Aube bigarrée
- Thibaut de Champagne
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Tu me disais - André VERDET
Le poème « Tu me disais » est un extrait de l'oeuvre d'André Verdet, Les jours, les nuits, et puis l'aurore. Résistant de la guerre de 1945, André Verdet y traite le thème de la guerre, qui inspire tant de joies par ses victoires, mais surtout, tant de souffrances. Dans ce poème il laisse la parole à un résistant mourant, dont le seul souvenir heureux et magnifique est celui de l'amour l'unissant à sa femme. Le rythme lent lui attribue une atmosphère paisible et heureuse, que vient brusquement r...
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- Max Jacob : « Villonelle », extrait du Laboratoire central
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MUSSET: oeuvres principales
Musset, Alfred de (1810-1857) Ecrivain français, représentant typique du courant romantique. Une jeunesse dorée Né dans une famille parisienne aisée, Musset, après une scolarité brillante, connaît une vie de dandy. Fréquentant les théâtres et les cafés à la mode, il est introduit dans le Cénacle en 1928 et dans le Salon de l'Arsenal, chez Charles Nodier, où il devient l'ami de Sainte-Beuve et de Vigny. Il y rencontre d'autres écrivains romantiques, tels que Victor Hugo et Lamartine. La comédie d...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Élégies) - Élégie deuxième
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Encore un peu ta bouche en pleurs...
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Chansonnettes) - Babillarde, qui toujours viens
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Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Caerulei oculi
Introduction : Emaux et Camées est un recueil poétique de Théophile Gautier publié en 1852 qui se présente comme le sommet de l’art poétique de ce poète et écrivain du XIXe siècle. Avec ce recueil, Théophile Gautier se présente comme le fondateur d’un nouveau mouvement : Le Parnasse. Le poème « Caerulei Oculi », que l’on peut traduire par « les yeux d’azur », évoque, dans une tonalité lyrique, la poursuite par le poète d’une femme insaisissable et mystérieuse. Projet de lecture : En quoi ce poèm...
- Jean RACINE (1639-1699) - Plainte d'un chrétien ...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Ce siècle avait deux ans
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- Pourquoi de nombreux romans traitent-ils de la révolte ?
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le collier de griffes) - A la plus belle