Vous commenterez ce jugement d'un critique: Le théâtre de Racine est le diamant de notre littérature. Car il n'est pas de théâtre, je pense, qui contienne à la fois plus d'ordre et de mouvement intérieur, plus de vérité psychologique et plus de poésie ?
Extrait du document
Vous commenterez ce jugement d'un critique Le theatre de Racine est le diamant de notre litterature. Car il n'est pas de theatre je pense qui contienne a la fois plus d'ordre et de mouvement interieur plus de verite psychologique et plus de poesie ?
Liens utiles
- Un critique écrit : « Ne confondons pas versification et poésie. Le versificateur n'est qu'un technicien ; la qualité d'un poète au contraire réside dans la puissance de suggestion qu'il emprunte aux sonorités, aux rythmes, aux images en accord étroit avec le sentiment. » En illustrant votre exposé d'exemples précis, vous commenterez ce jugement. ?
- BAUDELAIRE écrit dans son grand article sur Victor Hugo : Quand on se figure ce qu'était la poésie française avant qu'il apparût, et quel rajeunissement elle a subi depuis qu'il est venu, quand on imagine le peu qu'elle eût été s'il n'était pas venu, combien de sentiments mystérieux et profonds, qui ont été exprimés, seraient restés muets; combien d'intelligences il a accouchées, il est impossible de ne pas le considérer comme un de ces esprits rares et providentiels qui opèrent, dans
- Un critique écrit : « La littérature n'a pas pour vocation de se mêler des débats politiques ou sociaux. A vouloir jouer ce rôle, elle se pervertit et ne parvient même pas à être efficace. » Ce jugement vous paraît-il fondé ?
- « Tous les romans où l'amour règne, à côté des Liaisons, semblent naïfs ou sommaires. On n'a jamais vu d'intrigues aussi férocement méditées, nouées et dénouées avec tant de maîtrise, précise le critique Kleber-Haedens dans « Une histoire de la littérature française ». Dans un développement organisé, vous commenterez cette citation en vous attachant notamment à comparer « Les Liaisons dangereuses » à d'autres célèbres romans d'amour.
- Vous commenterez et discuterez ce jugement de René Pomeau en l'appliquant au texte des Liaisons dangereuses : « Ce disciple de Rousseau déteste le pathos. Ce qui lui tient à coeur, il le laisse en creux [...]. Le mot clé de l'oeuvre, c'est le cri du libertin à Danceny tenté par la carrière de l'homme à bonnes fortunes : « Ah ! croyez-moi, on n'est heureux que par l'amour ! ». Laclos a établi cette vérité par la preuve inverse. »