21 résultats pour "voudraient"
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Je voudrais bien, pour m'ôter de misère
- Jean GODARD (1564-1630) - Je voudrais être ainsi comme un Penthée
- Marie NERVAT (1874-1909) - Je voudrais aller me promener dans les bois
- Etienne DURAND (1586-1618) - Je voudrais bien être vent quelquefois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Quand je voudrai sonner de mon grand Avanson
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
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« Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit dans son conte Le Taureau Blanc.
Demande d'échange de corrigé de MOUSTAFA Hatim ([email protected]). \Sujet déposé : Sujet : « Je veux qu'un conte soit fondé sur la vraisemblance, et qu'il ne ressemble pas toujours à un rêve. Je désire qu'il n'ait rien de trivial ni d'extravagant. Je voudrais surtout que, sous le voile de la fable, il laissât entrevoir aux yeux exercés quelque vérité fine qui échappe au vulgaire. » - Vous montrerez que Candide souligné de Voltaire rempli la fonction d'apologue tel que lui-même la définit d...
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
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- Jean de SPONDE (1557-1595) - Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive
- Joachim Bernier de LA BROUSSE (x-1623) - Je voudrais bien sous la voûte infernale
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - Je voudrais, si ma vie était encore à faire
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Je voudrais être Ixion et Tantale
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Qui voudra voir tout ce qu'ont pu nature
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Qui voudrait figurer la romaine grandeur
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Marie, qui voudrait votre beau nom tourner
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« qu'est-ce que l'acanthe grecque ? Un artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel que l'homme l'eût fait s'il eût été Dieu. l'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il voudrait qu'il le lût. Et lorsqu'il le reconstruit, c'est à cette échelle qu'il le reconstruit... Dans ce qu'il a d'essentiel, notre art est une humanisation du monde. » c'est ainsi qu'André Malraux, dans Les Noyers de l'Altenburg, lait parler, au colloque international de l'Altenburg, le
S~jets traités « Qu'est-tc que l'acant he gn:cque '? 11 artichaut stylisé. Stylisé, c'est-à-dire humanisé : tel CJUC l'homme l'eîll htit s'il etît été Dieu. L'homme sait que le monde n'est pas à l'échelle humaine ; et il Yondrait qu'il le fîu. Et lorsqu'il le n:construit. c'est à celle échelle qu'il le reconMruit... Dans ce qu'il a d'essentiel. notre art est une humanisation du monde. >> C'est aitL~i qu'Amlré MalratLx, dan Les },~l'I'I "S de I'Ailmburg, fait parler, a11 colloque intematicmal...
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Jean Anouilh, Antigone, (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est...
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Jean Anouilh, Antigone, extrait (1944).
Sujet: Jean Anouilh, Antigone, (1944) « CRÉON, sourdement. - Eh bien, oui, j'ai peur d'être obligé de te faire tuer si tu t'obstines. Et je ne le voudrais pas. ANTIGONE - Moi, je ne suis pas obligée de faire ce que je ne voudrais pas! Vous n'auriez pas voulu non plus, peut-être, refuser une tombe à mon frère ? Dites-le donc, que vous ne l'auriez pas voulu ? CRÉON - Je te l’ai dit. ANTIGONE - Et vous l’avez fait tout de même. Et maintenant, vous allez me faire tuer sans le vouloir. Et c'est cela,...
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BALZAC - Eugénie Grandet
L'orientation du commentaire L'intérêt essentiel de ce texte réside dans la peinture des personnages au cours d'une discussion d'intérêt. A partir du dialogue qui occupe dans la scène une place prépondérante,4 partir, aussi, du comportement de Grandet, vous pouvez déceler leurs traits de caractère et les sentiments qui les agitent. Mais cette scène présente aussi un intérêt dramatique : on y voit le père Grandet luttant pied à pied pour spolier Eugénie de sa part d'héritage et faire prendre en f...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Romances) - L'espoir
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - Conseils à une parisienne