566 résultats pour "victor"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Le poète bat aux champs
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Les enfants lisent, troupe blonde
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - La pauvre fleur disait au papillon céleste
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jour de fête aux environs de Paris
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Depuis six mille ans la guerre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Ecrit après la visite d'un bagne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Chanson pour faire danser en rond les petits enfants
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Un jour je vis le sang couler de toutes parts
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène
- Peut-on dire que les héros des pièces de Victor Hugo, d'Alfred de Musset (extrait Fantasio, Caprices de Marianne, Hernani, etc.) sont des héros romantiques et qu'ils illustrent bien ce que doit être le personnage principal d'un drame romantique
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille
- Peut-on dire que les héros des pièces de Victor Hugo, d'Alfred de Musset (extraits Fantasio, Caprices de Marianne, Hernani, etc.) sont des héros romantiques et qu'ils illustrent bien ce que doit être le personnage principal d'un drame romantique ?
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux
- Dans la préface de Cromwell (1827), Victor Hugo écrit : « le théâtre est un point d'optique : Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme ; tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art » Vous commenterez et discuterez ces propos?
- Victor Hugo fut partie prenante de la politique de son temps puisqu'il exerça des fonctions d'orateur et d'élu. À travers les Châtiments, il définit les fonctions politiques qui incombent au poète. Vous essaierez de les mettre en évidence et de les commenter de manière raisonnée ?
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En quel sens peut-on dire que Victor HUGO a été un grand poète épique ?
On peut dire que les siècles classiques ont été hantés par l'idée du poème épique. Tous les essais ont échoué (Ronsard, Chapelain, Voltaire). Il a fallu attendre le triomphe du Romantisme, pour que le génie épique, qui avait jeté chez nous un si vif éclat au moyen âge, reparût dans notre littérature. Bien qu'il n'ait pas fait d'épopée comme Homère ou Virgile (vaste récit d'une longue action), Victor Hugo, par la Légende des siècles et certaines pièces des Contemplations, peut être regardé comme...
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« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez ?
« La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument », a prétendu Victor Hugo. Commentez. Introduction : a) La poésie, qui chante nos joies ou nos douleurs, est éternelle. Mais doit-elle sa pérennité à sa Beauté ? b) Victor Hugo ne semble pas croire à cette explication quand il écrit : « La poésie n'est pas un ornement, elle est un instrument ». c) Qu'entend-il par là et pouvons-nous être d'accord ? I. — Thèse de Hugo : Elle exprime une double conception : A. — La poésie n'est pas un ornem...
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commentaire de deux poèmes, Eluard et Victor Hugo (Elle était déchaussée et L'amoureuse)
- Enoncé du sujet= présentation du texte, de l’œuvre dont il est extrait, le titre, l’auteur, l’époque (histoire littéraire A SUPPRIMER QD TU REPRENDRAS 5c’est juste pour que tu comprennes ce qu’il faut faire Les textes proposés parlent du sentiment amoureux. Ce sont des poèmes, l’un de Victor Hugo, l’autre de Paul Eluard. « Elle était déchaussée,… » fait partie des Contemplations, un recueil lyrique publié en 1856 après le décès de sa fille Léopoldine. La tonalité générale des Co...
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Hernani VICTOR HUGO (1802-1885)
DRAME Hernani VICTOR HUGO (1802-1885) L'auteur Victor Hugo, né à Besançon, est fils d'un général des armées napoléoniennes. Il se distingue très tôt par ses talents de poète et se consacre à la littérature. En 1822, il épouse Adèle Foucher dont il aura quatre enfants. À partir de 1830, avec son drame Hernani, il devient le chef du mouvement romantique. En 1833, il rencontre Juliette Drouet, la maîtresse de sa vie. En 1843, la mort de sa fille Léopoldine le plonge dans une doule...
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Comment expliquez-vous que, d'« oeuvre de circonstance », Les Châtiments aient fini par devenir un monument poétique ayant survécu à son temps ?
[Introduction] La poésie de circonstance est vouée par sa nature même aux oubliettes de l'Histoire, car elle devient lettre morte quand l'événement qui l'a inspirée ne mérite pas de figurer dans les annales. Volontiers péjorative, l'expression caractérise d'ailleurs une poésie éphémère, peu sincère, facile, qui choisit ses sujets dans la vie quotidienne. Mais pour désigner Les Châtiments, l'expression prend le sens large de poésie inspirée par le coup d'Etat du 2 décembre 1851 et ses conséquence...