7 résultats pour "promeneuses"
- Philippe DESPORTES (1546-1606) - A pas lents et tardifs tout seul je me promène
- Marie NERVAT (1874-1909) - Je voudrais aller me promener dans les bois
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Les promeneuses
- Un roman est un miroir promené le long d'un chemin » ; « toute oeuvre d'art est un beau mensonge »... Comment concilier ces déclarations apparemment contradictoires de Stendhal ? En vous appuyant sur vos lectures, vous vous demanderez dans quelle mesure l'oeuvre littéraire peut et doit refléter la réalité.
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BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro ou la Folle Journée (1784) Acte V, 3 de « FIGARO, seul, se promenant dans l'obscurité...» à « ...on se venge en le maltraitant.»
BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro ou la Folle Journée (1784) Acte V, 3 de « FIGARO, seul, se promenant dans l'obscurité...» à « ...on se venge en le maltraitant.» « Le théâtre est un géant qui blesse à mort tout ce qu'il touche ». C'est en ces termes que Beaumarchais, héritier de Voltaire et pamphlétaire de génie, définit la comédie à laquelle il octroie une place dans le combat philosophique. Cette dernière, pourtant animée d'une franche gaieté, devient une tribune d'où l'auteur fustige l...
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Promenade sentimentale
Introduction En 1866, dans le monde de la poésie toujours dominé par le talent de Baudelaire et marqué par la constitution du groupe Parnassien sous l'autorité esthétique de Leconte de Lisle, se fait entendre une voix nouvelle à l'occasion de la publication des Poèmes Saturniens de Paul Verlaine (dont certains sont déjà parus dans des revues littéraires). L'inspiration générale du recueil a été définie par l'auteur lui-même qui se présente comme un de ces êtres « nés sous le signe de Saturne »,...
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Robert Desnos - Extrait de "Corps et Biens"
Pistes méthodologiques Analyser le texte • Ce poème de Robert Desnos est un poème en prose de registre lyrique. La répétition au début de quatre paragraphes de la proposition « J'ai tant rêvé de toi... » (anaphore) y exprime l'enva¬hissement du rêve amoureux : le poète est entièrement habité, obsédé par la pensée de la femme aimée. • On comprend que le poète, en l'absence de la femme aimée, a cherché à l'évoquer, à lui donner corps par sa seule pensée mais avec des conséquences inverses de celle...