16 résultats pour "obscur"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - L'obscurité, dans les chambres, le soir...
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Tous ces oiseaux qui sous la nuit obscure
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - La nuit était pour moi si très-obscure
- Gabrielle de COIGNARD (x-1594) - Obscure nuit, laisse ton noir manteau
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
- Roi FRANÇOIS 1er (1494-1547) - Triste penser, en prison trop obscure
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Phyllis) - Obscur vallon, montagne sourcilleuse
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Je sens déjà saillir de toute fosse obscure
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Seuls les rideaux, tandis que la chambre est obscure
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Dans l'angle obscur de la chambre, le piano
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BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro ou la Folle Journée (1784) Acte V, 3 de « FIGARO, seul, se promenant dans l'obscurité...» à « ...on se venge en le maltraitant.»
BEAUMARCHAIS, Le Mariage de Figaro ou la Folle Journée (1784) Acte V, 3 de « FIGARO, seul, se promenant dans l'obscurité...» à « ...on se venge en le maltraitant.» « Le théâtre est un géant qui blesse à mort tout ce qu'il touche ». C'est en ces termes que Beaumarchais, héritier de Voltaire et pamphlétaire de génie, définit la comédie à laquelle il octroie une place dans le combat philosophique. Cette dernière, pourtant animée d'une franche gaieté, devient une tribune d'où l'auteur fustige l...
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Léopold Sédar Senghor
Introduction Léopold Sédar Senghor reprend une longue tradition poétique qui lie la nature et la femme. Mais le lecteur sent fort bien qu'il ne s'agit pas, dans ce poème, d'une simple convention littéraire. La symbiose est totale. La force de la nature africaine, la sensualité, le lyrisme, tout concourt à faire de ce texte un bel hymne à la négritude. Il sera possible d'étudier la correspondance avec le continent et l'éloge vibrant de l'amour. Développement Le plan de la première partie sera plu...
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Jean Tardieu
Jean Tardieu 1903-1995 Jean Tardieu est l'auteur d'une oeuvre poétique toute de discrétion et de profondeur. Dans Le Choix de Poèmes (1961), le lecteur retrouvera les thèmes familiers, comme les recherches de langage, qui forment, avec les esquisses dramatiques de Théâtre de chambre, Un Mot pour un autre, Une Voix sans personne et Les Poèmes à jouer, l'essentiel d'une longue et féconde création, à la connaissance de laquelle aident, pour leur part, d'autres ouvrages, tels que Accents (1939), Le...
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L'oeuvre lyrique de Paul CLAUDEL
CLAUDEL ET LES POÈTES DU XIXe SIÈCLE Paul Claudel, retranché dans ses convictions religieuses, dénonce avec violence les erreurs du siècle révolu et s'oppose aux écoles littéraires qui l'ont précédé. Aux romantiques, il reproche l'inanité de leurs révoltes contre Dieu et la Nature, l'inconsistance de leurs idoles, Humanité ou Progrès, la déclamatoire éloquence de leur poésie. A l'égard des symbolistes, son attitude est plus nuancée; il demeure fidèle à Rimbaud, admire en Verlaine « le poète chré...
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Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4.
Pierre Corneille, Rodogune princesse des Parthes, acte V, scène 4. Timagène Surpris d’un tel spectacle, à l’instant je m’écrie ; Et soudain, à mes cris, ce prince, en soupirant, Avec assez de peine entr’ouvre un oeil mourant, Et ce reste égaré de lumière incertaine Lui peignant son cher frère au lieu de Timagène, Rempli de votre idée, il m’adresse pour vous Ces mots où l’amitié règne sur le courroux : "Une main qui nous fut bien chère Venge ainsi le refus d’un coup trop inhumain. Régnez, et surt...
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Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - L'échafaud
Victor HUGO, La Légende des siècles, « L'échafaud ». 1. C’était fini. Splendide, étincelant, superbe, 2. Luisant sur la cité comme la faulx sur l’herbe, 3. Large acier dont le jour faisait une clarté, 4. Ayant je ne sais quoi dans sa tranquillité 5. De l’éblouissement du triangle mystique, 6. Pareil à la lueur au fond d’un temple antique, 7. Le fatal couperet relevé triomphait. 8. Il n’avait rien gardé de ce qu’il avait fait 9. Qu’une petite tache imperceptible et rouge. 10. Le bourreau s’en ét...