13 résultats pour "larme"
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Larmes
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si les larmes servaient de remède au malheur
- Etienne DURAND (1586-1618) - J'ai passé maintes nuits à me plaire en ces larmes
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Vous qui sur mon front, toute en larmes
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Les cloches et les larmes
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Tant que mes yeux pourront larmes épandre
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - Les larmes de l'ours
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Derniers vers) - Larme
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Molière, Dom Juan, ou le festin de pierre, Acte IV, scène 6
Molière, Dom Juan, ou le festin de pierre, Acte IV, scène 6. DONE ELVIRE : C'est ce parfait et pur amour qui me conduit ici pour votre bien, pour vous faire part d'un avis du Ciel, et tâcher de vous retirer du précipice où vous courez. Oui, Dom Juan, je sais tous les déréglements de votre vie, et ce même Ciel qui m'a touché le cœur et fait jeter les yeux sur les égarements de ma conduite, m'a inspiré de vous venir trouver, et de vous dire, de sa part, que vos offenses ont épuisé sa miséric...
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Vous illustrerez par l'étude d'une tragédie de Racine cette définition que La Bruyère donne du poème tragique : « Le poème tragique vous serre le coeur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la liberté de respirer et de vous remettre ; ou s'il vous donne quelque relâche, c'est pour vous replonger dans de nouveaux abîmes, dans de nouvelles alarmes. Il vous conduit à la terreur par la pitié ou, réciproquement, à la pitié par la terreur, vous mène par les larmes,
INTRODUCTION La valeur d'une pièce de théâtre se mesure d'abord à l'emprise qu'elle exerce sur les spectateurs. D'emblée elle doit susciter leur intérêt à l'égard des personnages et des problèmes auxquels ils se heurtent. Et au cours du déroulement de la représentation, cet intérêt doit aller grandissant jusqu'au dénouement. La tragédie de Phèdre répond pleinement à ces exigences. Dès le premier acte, elle nous émeut par l'évocation du drame intérieur d'Hippolyte et de Phèdre. Elle ne nous fait...
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Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Diamant du coeur
Gautier, Émaux et camées, « Diamant du cœur ». 1. Tout amoureux, de sa maîtresse, 2. Sur son coeur ou dans son tiroir, 3. Possède un gage qu'il caresse 4. Aux jours de regret ou d'espoir. 5. L'un d'une chevelure noire, 6. Par un sourire encouragé, 7. A pris une boucle que moire 8. Un reflet bleu d'aile de geai. 9. L'autre a, sur un cou blanc qui ploie, 10. Coupé par derrière un flocon 11. Retors et fin comme la soie 12. Que l'on dévide du cocon. 13. Un troisième, au fond d'une boîte, 14. Reliqu...
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Dans Le Théâtre, A. Ubersfeld affirme : L'une des caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c'est son caractère incomplet. Pour elle, le texte théâtral est donc un texte troué, qui exige du metteur en scène une interprétation. Vous discuterez ce point de vue en prenant appui sur les textes du Corpus et sur les oeuvres que vous avez lues ou étudiées, notamment Rhinocéros.
Sujet: Dans Le théâtre, A Ubersfeld affirme: "Une des caractéristiques les plus étonnantes du texte théâtral, la moins visible, mais peut-être la plus importante, c'est son caractère incomplet". Pour elle le texte théâtral est donc un texte troué qui exige du metteur en scène une interprétation. Vous discuterez ce point de vue en prenant appui sur les oeuvres que vous avez lu ou étudié. Anne Ubersfeld adopte une position provocatrice en affirmant que le texte théâtral est "incomplet", ce qui sug...
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Stendhal, Le Rouge et le Noir, Partie I.
Stendhal, Le Rouge et le Noir, partie I, chapitre 6, « L’ennui ». Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait sur le jardin, quand elle aperçut près de la porte d'entrée la figure d'un jeune paysan presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette. Le teint de ce pe...