27 résultats pour "isaac"
-
Isaac Babel
Isaac Babel 1894-1941 De taille moyenne, trapu, presque sans cou, le front ridé, le nez en bec de canard, les yeux petits, les lunettes épaisses, Isaac Babel aurait pu être, comme son grand-père, un rabbin privé de l'exercice de son ministère pour cause de blasphème, vendre du poisson au marché, comme son grand-oncle, ou devenir, comme son père, petit commerçant. À 15 ans, il écrivait déjà, et la littérature devait être son métier, sa maladie, son ravissement. Il était à peine majeur — en 1915—l...
- Isaac de BENSERADE (1613-1691) - Epigramme
- Isaac de BENSERADE (1613-1691) - Sur une coquette
- Isaac HABERT (1560-1615) - Le pourtraict
- Isaac de BENSERADE (1613-1691) - Sur la ville de Paris
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je suis si transporté d'aise et d'étonnement
- Isaac HABERT (1560-1615) - A l'ombre des myrtes verts
- Isaac HABERT (1560-1615) - Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !
-
- Isaac HABERT (1560-1615) - Celui ne suis-je point, divine chasseresse
- Isaac HABERT (1560-1615) - Amour m'a découvert une beauté si belle
- Isaac HABERT (1560-1615) - Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
- Isaac HABERT (1560-1615) - Sisyphe malheureux, Ixion et Tantale
- Isaac de BENSERADE (1613-1691) - Madame, je vous donne un oiseau pour étrenne
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil
- Isaac HABERT (1560-1615) - A la merci des vents, des flots, et de l'orage
- Isaac HABERT (1560-1615) - Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs
-
- Isaac HABERT (1560-1615) - L'on ne voit rien que feux, l'air est tout enflammé
- Isaac HABERT (1560-1615) - Sur la sombre minuit qu'une liqueur miellée
- Isaac HABERT (1560-1615) - Quelle horreur, quel effroi, quel brouillard, quelle nuit
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'avais longtemps erré par les sombres déserts
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance
- Isaac HABERT (1560-1615) - Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire
- Isaac HABERT (1560-1615) - Nuit fille de la terre, amène tes flambeaux
- Isaac HABERT (1560-1615) - Quand le clair Apollon tire son char des eaux
-
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - Viens, ma belle Florelle, où l'ombre noir tremblote