Résultats pour "couleurs"
- Jean ROBERTET (14xx-1503) - L'exposition des couleurs
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Des trois couleurs, gris, tanné et noir
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Sur l'océan couleur de fer
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Parfums, couleurs, systèmes, lois !
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Si de nouveau j'ai nouvelles couleurs
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Grande bête dorée, Amour couleur de femme
- Flaubert, Madame Bovary, II, 12 - La lune, toute ronde et couleur de pourpre...
- Un homme cultivé voit le monde avec plus de couleur, de profondeur, de mystère. Qu'en pensez-vous ?
- Raymond RADIGUET (1903-1923) (Recueil : Couleurs sans danger) - Nues
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?
- André Gide, La Symphonie pastorale, premier cahier.