11 résultats pour "connaît"
- Honoré d' URFÉ (1567-1625) (Recueil : L'Astrée) - Qu'il connaît qu'on feint de l'aimer
- Quel intérêt peut-on avoir à assister à une pièce de théâtre que l'on connaît déjà ?
- N'y a-t-il, selon vous, aucun intérêt pour le spectateur à assister à une pièce de théâtre dont il connaît d'avance l'action et le dénouement, comme c'est le cas lors des reprises des grands mythes ou des pièces de théâtre très connues ?
- N'y a-t-il, selon vous, aucun intérêt pour le spectateur à assister à une pièce de théâtre dont il connaît d'avance l'action et le dénouement, comme c'est le cas lors des reprises des grands mythes ou des pièces de théâtre très connues ?
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«CARACTÈRE» DE LA BRUYÈRE
«CARACTÈRE» DE LA BRUYÈRE Vous expliquerez, sous forme de commentaire composé, ce texte de la Bruyère: Je connais Mopse d'une visite qu'il m'a rendue sans me connaître; il prie des gens qu'il ne connaît point de le mener chez d'autres dont il n'est point connu; il écrit à des femmes qu'il connaît de vue. II s'insinue dans un cercle de personnes respectables, et qui ne savent quel il est, et là, sans attendre qu'on l'interroge, ni sans sentir qu'il interrompt, il parle, et souvent, et ridicu...
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Discutez de propos de Barthes : « De toutes les lectures, la lecture tragique est la plus perverse : je prends plaisir à m'entendre raconter une histoire dont je connais la fin. » ?
Barthes opère un rapprochement entre deux sujets : d'une part, le tragique et la tragédie : c'est le propre de la pièce tragique que de raconter une histoire dont on connaît la fin puisqu'elle s'appuie souvent sur un mythe connu (on a ainsi plusieurs Antigone, plusieurs Electre…). D'autre part, la lecture, qui a priori est justement l'inverse de ce que suppose la tragédie : en effet une tragédie appartient au genre du théâtre et se regarde en communauté ; tandis que la lecture concerne tous les...
- Dans une chronique publiée dans Le Gaulois, Maupassant affirme que, pour qu'il puisse être touché par un roman, il faut que les personnages soient ses voisins, ses égaux, passent par les joies et les souffrances qu'il connaît. Les personnages de roman doivent-ils, pour toucher le lecteur, être ses voisins, ses égaux et passer par les joies et les souffrances qu'il connaît ?
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MUSIQUE: Jacques Offenbach (1819-1880)
Jacques Offenbach (1819-1880) Le triomphe de l'opérette. Offenbach est le témoin malicieux de la vie mondaine du second Empire. Ses mélodies élégantes et pleines de verve reflètent à merveille — parfois férocement — le tourbillon des fêtes brillantes dans lequel s'étourdit une société décadente, impatiente de dépenser dans des plaisirs superficiels, voire frelatés, un argent facilement gagné. La musique d'Offenbach s'accorde à la gaieté un peu surfaite de ces fastes parisiens et connaît rapideme...
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Le but d'une dernière page de roman est-il uniquement de donner un dénouement à l'histoire ?
EAF 2009 Objet d'étude : le roman et ses personnages : visions de l'homme. Séries générales. Textes : Texte A Maupassant (1850-1883) Une Vie, chapitre XIV (1883) Texte B Zola (1840-1902) Germinal, septième partie, chapitre VI (1885) Texte C Giono (1895-1970) Regain, deuxième partie (1930) Texte D Malraux (1901- 1976) La Condition humaine,septième partie (1933) Texte E Albert Camus (1913-1960) La Peste, 5° partie, chapitre 5 (1947) Dissertation Le but d'une dernière page de roman est-il uniquemen...
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Comte de Lautréamont
Comte de Lautréamont Isidore-Lucien Ducasse, en littérature comte de Lautréamont, est né le 4 avril 1846 à Montevideo. Il était fils de François Ducasse, trente-six ans, chancelier délégué du Consulat de France et de Célestine Jacquette Davezac, vingt-quatre ans. Il est décédé à Paris le 24 novembre 1870, au 7 de la rue du Faubourg-Montmartre. Il a publié deux ouvrages : Les Chants de Maldoror et, comme "préface à un livre futur", Poésies. De son vivant, ils passèrent inaperçus. Ceux qui, les p...
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Montesquieu et L'Esprit des Lois
LA PRÉPARATION DE L'ESPRIT DES LOIS Après 1734, Montesquieu se consacre à l'oeuvre immense qui a été la préoccupation de toute sa vie. Il enrichit de l'expérience de ses voyages et de l'apport de ses nouvelles lectures le trésor des matériaux qu'il a déjà accumulés sur les problèmes posés par le gouvernement des sociétés; et il rédige L'Esprit des Lois. Il connaît parfois des heures de découragement : « J'ai bien des fois commencé et bien des fois abandonné cet ouvrage; j'ai mille fois envoyé au...