35 résultats pour "1615"
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Marguerite de VALOIS, dite la reine MARGOT (1553-1615) - Stances amoureuses de la Reine de Navarre
Marguerite de VALOIS, dite la reine MARGOT (1553-1615) - Stances amoureuses de la Reine de Navarre (extraits) Introduction : Marguerite de Valois reprend ici une forme particulière, celle des stances, terme désignant un poème formé d'une série de strophes d'inspiration grave qui témoignent souvent d'une méditation personnelle. Ce poème de la reine Margot a été composé pour son amant, Champvallon. Projet de lecture : Comment ce poème se présentant comme un épanchement lyrique se révèle être un te...
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Qu'est-ce qu'amour ?
- Isaac HABERT (1560-1615) - Le pourtraict
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Si, transporté d 'une d'une sainte fureur, ...
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Je ne nourris dans moi qu'une humeur noire ...
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Qu'il soit permis au folâtre poète...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je suis si transporté d'aise et d'étonnement
- Isaac HABERT (1560-1615) - A l'ombre des myrtes verts
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- Isaac HABERT (1560-1615) - Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Vers mesurés rimés
- Isaac HABERT (1560-1615) - Celui ne suis-je point, divine chasseresse
- Isaac HABERT (1560-1615) - Amour m'a découvert une beauté si belle
- Isaac HABERT (1560-1615) - Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir
- Isaac HABERT (1560-1615) - Sisyphe malheureux, Ixion et Tantale
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil
- Isaac HABERT (1560-1615) - A la merci des vents, des flots, et de l'orage
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- Isaac HABERT (1560-1615) - Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - L'on ne voit rien que feux, l'air est tout enflammé
- Isaac HABERT (1560-1615) - Sur la sombre minuit qu'une liqueur miellée
- Isaac HABERT (1560-1615) - Quelle horreur, quel effroi, quel brouillard, quelle nuit
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'avais longtemps erré par les sombres déserts
- Etienne PASQUIER (1529-1615) - Celui vraiment savait bien la manière ...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance
- Isaac HABERT (1560-1615) - Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire
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- Isaac HABERT (1560-1615) - Nuit fille de la terre, amène tes flambeaux
- Isaac HABERT (1560-1615) - Quand le clair Apollon tire son char des eaux
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - Viens, ma belle Florelle, où l'ombre noir tremblote
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - J'ose glisser sur ton douteux empire
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Muse, n'est-ce point là le feu de la Deesse
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Espritz qui voletez sur le bruict que bourdonne
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- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Qui voudroit resister à la puissance tienne
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Muse, conseil ; lequel il me faut prendre
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Sous ce large peuplier par trois fois trois je tourne