87 résultats pour "élégies"
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les tristes) - L'élégie du sang des colombes
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Aveu d'une femme
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - L'église d'Arona
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Un billet de femme
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Il n'est que d'être roi pour être heureux au monde
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Rêve d'une femme
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Un arc de triomphe
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Fleur d'enfance
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- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Plus de chants
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - La fleur d'eau
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Ame et jeunesse
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Elégie
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Quand le fil de ma vie...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - La maison de ma mère
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Tout homme a ses douleurs. Mais aux yeux de ses frères
- Charles FONTAINE (1515-158x) - Elégie sur le trépas de René, cinquième enfant de l'auteur
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Elégies) - Je ne refuse point qu'en si belle jeunesse
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Il n'est donc plus d'espoir, et ma plainte perdue
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Elégies) - Que servirait nier chose si reconnue
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Oh ! puisse le ciseau qui doit trancher mes jours
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ah ! je les reconnais, et mon coeur se réveille
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - Quand vous lirez, ô Dames Lyonnoises
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Prologue des "Élégies nationales"
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Les esclaves d'Amour ont tant versé de pleurs
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- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ah ! portons dans les bois ma triste inquiétude
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô délices d'amour ! et toi, molle paresse
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - L'art, des transports de l'âme est un faible interprète
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Souvent le malheureux songe à quitter la vie
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - D'un tel vouloir le serf point ne désire
- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô Muses, accourez ; solitaires divines
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - Au temps qu'Amour, d'hommes et Dieux vainqueur
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- André CHÉNIER (1762-1794) (Recueil : Elégies) - Ô jours de mon printemps, jours couronnés de rose
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Elégie à Janet, peintre du roi
- Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à l'affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée, souvent impropre mais plus vivante des valets. ?
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Comment faire un commentaire composé ?
Dissertation et commentaire composé posent les mêmes problèmes, dès lors que l'on passe du stade de l'élaboration à celui de la rédaction. Une fois établi le plan détaillé qui servira de charpente au développement, vous vous attacherez à rédiger entièrement sur une feuille de brouillon l'introduction et la conclusion de votre travail. Vous recopierez ensuite au propre l'introduction et, après avoir laissé un blanc, attaquerez directement au propre le développement. Le temps imparti à l'examen ne...
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Auguste de Villiers de L'Isle-Adam Contes cruels
L'idée dominante est déjà présente dans le titre «Fleurs de ténèbres» qui associe deux mots d'acceptions très différentes. Si le vocable fleurs évoque la fraîcheur, la grâce, le renouveau de la nature, le mot « ténèbres », lui, évoque le jour qui faiblit, la crainte de la nuit, l'obscurité de la mort, la sombre malfaisance de l'au-delà, la perdition et la damnation. C'est donc associer l'espérance de vie à la certitude de la mort. Étrange association donc que celle que fait pressentir le tit...