221 résultats pour "1522+1560"
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Sire, celui qui est a formé toute essence
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je ne veux point fouiller au sein de la nature
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Le Babylonien ses hauts murs vantera
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Une louve je vis sous l'antre d'un rocher
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - France, mère des arts, des armes et des lois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - De voir mignon du roi un courtisan honnête
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Vivons, Gordes, vivons, vivons, et pour le bruit
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Je vis haut élevé sur colonnes d'ivoire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je fus jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Comme un qui veut curer quelque cloaque immonde
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - La jeunesse, Du Val, jadis me fit écrire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Non autrement qu'on voit la pluvieuse nue
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Digne fils de Henri, notre Hercule gaulois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Muse, qui autrefois chantas la verte Olive
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Heureux celui qui peut longtemps suivre la guerre
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Sur la croupe d'un mont je vis une fabrique
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Cent fois plus qu'à louer on se plaît à médire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je hais plus que la mort un jeune casanier
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Qui a vu quelquefois un grand chêne asséché
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Divins esprits, dont la poudreuse cendre
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Mars, vergogneux d'avoir donné tant d'heur
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Veux-tu savoir, Duthier, quelle chose c'est Rome
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Par armes et vaisseaux Rome dompta le monde
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Malheureux l'an, le mois, le jour, l'heure et le point
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Le Breton est savant et sait fort bien écrire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Plus riche assez que ne se montrait celle
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ores, plus que jamais, me plaît d'aimer la Muse
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je n'escris point d'amour, n'estant point amoureux
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si fruits, raisins et blés, et autres telles choses
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Ces grands monceaux pierreux, ces vieux murs que tu vois
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Je vis sourdre d'un roc une vive fontaine
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Ô beaux cheveux d'argent mignonnement retors
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - C'est ores, mon Vineus, mon cher Vineus, c'est ore
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Plus qu'aux bords Aetëans le brave fils d'Eson
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Je vis un fier torrent, dont les flots écumeux
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LA POÉSIE AU 16e SIÈCLE
L'élan d'enthousiasme et la prodigieuse vitalité de la Renaissance se font particulièrement sentir dans le domaine poétique. Si des écrivains comme Marot, (1496-1544) encore tributaire de la tradition médiévale, et les représentants de l'école lyonnaise Maurice Scève et Louise Labé, imitateurs des Italiens, apportent un ton neuf, c'est surtout aux poètes de la Pléiade, groupés autour de Ronsard (1524-1585) et Du Bellay (1522-1560) qu'on doit le renouveau de la poésie française. I. UNE HAUTE IDÉE...
- Isaac HABERT (1560-1615) - Le pourtraict
- Charles-Timoléon de SIGOGNE (1560-1611) - Sonnet
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- Charles-Timoléon de SIGOGNE (1560-1611) - Ode
- Charles-Timoléon de SIGOGNE (1560-1611) - Stances
- Charles-Timoléon de SIGOGNE (1560-1611) - Galimatias
- Charles-Timoléon de SIGOGNE (1560-1611) - Stances
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je suis si transporté d'aise et d'étonnement
- Isaac HABERT (1560-1615) - A l'ombre des myrtes verts
- Isaac HABERT (1560-1615) - Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !
- Isaac HABERT (1560-1615) - Celui ne suis-je point, divine chasseresse
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- Isaac HABERT (1560-1615) - Amour m'a découvert une beauté si belle
- Isaac HABERT (1560-1615) - Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir