1477 résultats pour "s+affirme"
- Commentez cette affirmation de Raymond Fernandez: «A la recherche du Temps perdu est à la fois l'histoire d'une époque et l'histoire d'une conscience. »
-
Mémoires d'Outre-Tombe de Chateaubriand - Chapitre 14.
Chateaubriand, Mémoires d’Outre-Tombe, Livre III, Chapitre 14 Tentation. Bientôt, ne pouvant plus rester dans ma tour, je descendais à travers les ténèbres, j'ouvrais furtivement là porte du perron comme un meurtrier, et j'allais errer dans le grand bois. Après avoir marché à l'aventure, agitant mes mains, embrassant les vents qui m'échappaient ainsi que l'ombre, objet de mes poursuites, je m'appuyais contre le tronc d'un hêtre ; je regardais les corbeaux que je faisais envoler d'un arbre pour s...
- Par quels moyens littéraires un écrivain vous semble-t-il le mieux à même d'emporter l'adhésion de ses lecteurs lorsqu'il s'agit de lutter contre les abus humains de toutes sortes ?
- Pensez-vous comme André Lhote que : Le poète est celui qui tout au long de son existence, conserve le dont de s'emmerveiller ?
- On peut se demander pourquoi la lecture ou l'étude d'un ouvrage donne parfois envie de connaître d'autres oeuvres du même auteur. s'il vous est arrivé de vivre cette expérience, vous analyserez ce qui en fait pour vous le prix ?
- Que pensez-vous de cette affirmation de Victor Hugo dans la préface des Odes et Ballades (1826) : Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité. Il ne doit pas écrire avec ce qui a été écrit, mais avec son âme et son coeur ?
- Victor Hugo fustige : Le penseur qui se mutile / Et s'en va chanteur inutile / Par la porte de la citée. Pensez-vous que les auteurs doivent ainsi être toujours au service de la proclamation ?
- Tout ce qui est dans la nature est dans l'art dit Victor Hugo dans Cromwell, et plus loi, Le domaine de l'art et celui de la nature sont parfaitement distincts. Comment concilier ces deux affirmations qui semblent contradictoires ?
-
- La pièce de Molière Tartuffe a pour titre le nom du personnage qui est au coeur de l'oeuvre et qui apparaît comme le personnage principal. Toutefois cette dernière affirmation semble discutable à la lecture de la pièce dans son ensemble ?
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui nouvellement a reçu lettres de s'amie
- Commentez ce qu'à propos d'une pièce de Racine, Antoine Vitez, metteur en scène, déclarait : « Il ne s'agit après tout que d'une conversation sous les lustres. Mais pleine de dangers : on se fait des blessures par les mots qu'on dit ».
- Dans sa préface de 1869, Michelet dit que le problème historique s'est posé pour lui comme une résurrection de la vie intégrale, non pas dans ses surfaces, mais dans ses organismes intérieurs et profonds. Que veut-il dire par ces paroles ?
- Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage écrit Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés confirment-ils cette affirmation ?
- Après avoir rappelé aussi brièvement possible les circonstances de composition de L'Encyclopédie, vous vous attacherez à expliquer ce que fut l'esprit encyclopédique. Vous direz si, comme l'affirme Diderot, il a contribué à changer la façon commune de penser ?
- Commentez : « Le rire est une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l'objet une impression pénible. La société se venge par lui des libertés qu'on a prises avec elle. Il n'attendrait pas son but s'il portait la marque de la sympathie et de la bonté » ?
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui entra de nuit chez s'amie
-
- Le poète Saint-John Perse affirme : La personnalité même du poète n'appartient en rien au lecteur, qui n'a droit qu'à l'oeuvre révolue, détachée comme un fruit sur son arbre. Partagez-vous son point de vue ?
- « Là était la certitude, dans le travail de tous les jours... l'essentiel était de bien faire son métier. » Vous expliquerez et vous commenterez cette affirmation que Camus prête, dans « La Peste », à l'un de ses personnages.
- On affirme fréquemment que le texte de théâtre ne prend sa signification que dans l'espace de la scène. Dans quelle mesure cette affirmation vous paraît-elle justifiée ?
- Dans ses Confessions, Jean-Jacques Rousseau affirme vouloir dire toute la vérité sur son passé. Selon vous, l'écriture autobiographique et les différents pactes de sincérité qui l'accompagnent sont-ils les garants d'une image fidèle ?
- « Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage », écrit V. Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés illustrent-ils cette affirmation ?
- On constate fréquemment que tout régime autoritaire - dans la réalité ou dans les oeuvres d'imagination - s'illustre par la destruction de nombreux livres déclarés « dangereux », et par la mise au pas, l'exil ou l'emprisonnement. Que représente donc le livre pour qu'on le surveille de la sorte ?
- Ionesco écrit dans Notes et Contre-notes : « Le comique n'est comique que s'il est un peu effrayant ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant à vos connaissances littéraires ?
- Deux grands lecteurs s'interrogent sur ce qu'ils attendent de la lecture ; l'un estime que la lecture doit d'abord être un plaisir (son argumentation fera ressortir la nature de ce plaisr) ; l'autre défend l'idée que la lecture doit être avant tout utile. Imaginez leur dialogue ?
-
- « Les bons ouvrages ne sont pas nécessairement subversifs, mais, tous, ils remuent l'esprit et réveillent les pensées », F. Bott, article dans Le Monde, octobre 1983. Après avoir expliqué cette affirmation, vous l'approfondirez en vous appuyant sur des analyses tirées de vos lectures ?
- Dans le préambule des Confessions, Rousseau écrit : « et même s'il m'est arrivé d'employer quelque ornement indifférent, ce n'a jamais été que pour remplir un vide occasionné par mon défaut de mémoire ». Peut-on justifier et apprécier cette pratique dans le cadre de l'autobiographie ou de la biographie ?
- « Sans dépayser le spectateur ni par le langage, ni par les situation, ni par les héros, le mythe antique, dans une pièce moderne, ouvre au public les portes du rêve et de la réflexion. » Ces propos s'appliquent-ils à l'oeuvre théâtrale du XXe siècle que vous avez étudiée ?
- « Les grands livres changent la vie, les bons l'éclairent, les mauvais l'attristent ». M. Robert, Livres de lectures. Après avoir expliqué cette affirmation, vous vous demanderez dans quelle mesure elle correspond à votre expérience : vous vous appuierez sur des analyses tirées de vos lectures ?
- La littérature doit-elle servir à l'auteur de parler de soi ou au contraire de s'engager dans des débats collectifs ? Vous répondrez à cette question en un développement composé prenant appui sur les textes du corpus, les textes que vous avez étudiés en classe et vos propres lectures ?
- Dans la préface de Cromwell (1827), Victor Hugo écrit : « le théâtre est un point d'optique : Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme ; tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art » Vous commenterez et discuterez ces propos?
- « Toutes les situations dramatiques peuvent être rendues comiques avec un peu d'adresse ». (Souriau) Expliquez cette affirmation en précisant à quoi peut tenir le comique d'une situation à l'origine du dramatique dans la pièce de Molière, Dom Juan et dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais ?
- Imaginez un dialogue entre Baudelaire et Mallarmé qui affirmait, dans sa Lettre à Cazalis (1867, Propos sur la poésie) : « Il n'y a que la Beauté - elle n'a qu'une expression parfaite, la Poésie.» Votre dialogue pourra commencer par cette phrase et devra comporter des références précises aux poèmes que vous connaissez ?
-
- Seriez-vous aussi sévère qu'un critique affirmant, à propos de la reprise des mythes antiques par les dramaturges modernes : « Il y a une étonnante mesquinerie à rapetisser ainsi ces grandes figures qui, sur la route de l'humanité, incarnent nos éternelles passions. » ? Pour répondre, vous vous appuierez sur la pièce étudiée cette année ?
- Dans la préface de son Dictionnaire philosophique Voltaire écrit : les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié; ils entendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible. Que pensez-vous de cette affirmation ?
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination :Imagination : Toujours vive - s'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Dans son Dictionnaire des idées reçues, Flaubert écrit, à l'entrée Imagination : Imagination : Toujours vive - S'en défier - Et la dénigrer chez les autres. En quoi cette définition permet-elle d'éclairer l'écriture de son roman Madame Bovary vingt ans auparavant ?
- Un critique contemporain présente le mythe antique comme « une histoire vraie qui s'est passée au commencement des temps et qui sert de modèle aux comportements humains. » En vous appuyant sur l'oeuvre théâtrale du XXe que vous avez étudiée, vous vous demanderez dans quelle mesure elle exploite le mythe ainsi défini ?
- En vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux étudiés en classe et sur vos lectures personnelles, vous vous demanderez quelle(s) vérité(s) le biographe peut atteindre ?
- Un écrivain contemporain déclare : « Je me propose non de vous faire frémir ou pleurer mais de vous faire réfléchir ». Cette affirmation peut-elle être appliquée, selon vous, à l'oeuvre théâtrale du XXe siècle, inspirée d'un mythe antique, que vous avez étudiée cette année ? Vous répondrez dans un développement composé, illustré de références à cette oeuvre ?
- La tragédie, dit Racine, demande une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui, s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les passions et les sentiments des personnages. Expliquez à l'aide d'exemple ?
-
- Dans le texte A, Guilleragues fait dire à Marianne : J'écris plus pour moi que pour vous. En quoi cette formule surprenante vous paraît-elle pouvoir s'appliquer au genre épistolaire, envisagé dans sa diversité ? Vous prendrez appui sur les textes proposés dans le corpus, les textes étudiés en classe et vos lectures personnelles ?
- Dans le texte A, Guilleragues fait dire à Marianne : « J'écris plus pour moi que pour vous ». En quoi cette formule surprenante vous paraît-elle pouvoir s'appliquer au genre épistolaire, envisagé dans sa diversité ? Vous prendrez appui sur les textes proposés dans le corpus, les textes étudiés en classe et vos lectures personnelles ?
- Dans une interview où il expliquait son désir de monter l'École des femmes et d'y jouer le rôle d'Arnolphe, le comédien et metteur en scène Marcel Maréchal déclarait : « Agnès est un plaidoyer vivant pour la femme ». En vous appuyant sur des éléments précis tirés du texte, vous expliquerez et éventuellement discuterez cette affirmation. ?
- À l'instar des romans idéalistes, le genre picaresque a lui aussi l'ambition de susciter à travers la multiplicité épisodique une idée abstraite et inattendue de l'univers qui est celle de la séparation radicale entre l'homme incapable de s'élever jusqu'à la hauteur de la norme morale et son milieu ambiant ?
-
L'abbé Prévost et L'histoire d'une passion : Manon Lescaut.
UNE CARRIÈRE TOURMENTÉE Antoine-François Prévost, de bonne heure attiré par l'aventure, quitte le noviciat jésuite pour s'engager dans l'armée; mais, en 1720, il revient à la vie religieuse et entre chez les Bénédictins. Il étudie la théologie, enseigne les humanités; ordonné prêtre en 1726, il remporte de vifs succès comme prédicateur mondain. Il commence à rédiger en secret les Mémoires d'un homme de qualité. En 1727, il s'échappe de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés; poursuivi par son ordre,...
-
Je suis moi-même la matière de mon livre, a dit Montaigne. Quelle idée vous faites-vous de la personnalité de l'auteur des Essais, non seulement d'après ses confidences directes, mais encore d'après la composition de son oeuvre et la qualité originale de son style ?
INTRODUCTION «Les Essais, écrivait Gustave Lanson, c'est Montaigne», et de fait peu d'œuvres littéraires nous entretiennent aussi complai-samment de leur auteur. Il ne nous laisse autant dire rien ignorer de son aspect physique, de ses habitudes de vie, de son caractère. D'ailleurs, même s'il s'était montré avare de confidences sur lui-même, la manière dont il a composé son ouvrage et la qualité originale de son style suffiraient presque à nous renseigner sur ce qu'il est. Sa personnalité vigou...
-
L'oeuvre de DIDEROT
Peu d'écrivains ont plus complaisamment parlé d'eux-mêmes dans leurs ouvrages que Diderot. Sa personnalité s'étale partout, mais c'est dans sa correspondance et surtout dans ses lettres à Sophie Volland qu'elle se révèle et s'exprime le plus complètement. Échelonnée entre 1759 et 1774, cette correspondance présente le journal intime de sa vie, de son âme et de sa pensée, à l'époque la plus brillante de sa carrière littéraire. LE JOURNAL D'UNE VIE Le cercle de famille. Nous pénétrons dans l'intér...
- « Les utopies sont déprimantes parce qu'elle ne laissent place au hasard, à la différence, aux divers... Tout y a été mis en ordre et l'ordre règne », disait Georges Perec. Il rejoint René Char qui s'interrogeait : « Comment peut-on vivre sans inconnu devant soi ? » Vous vous interrogerez à partir de ces propos, dans un développement argumenté, sur la portée de l'utopie ?
-
- LA POLITIQUE LAMARTINIENNE
- Voltaire écrit dans la conclusion de "Candide" : "Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin". Quelles réflexions cette affirmation vous inspire-t-elle ? Vous vous appuierez sur des exemples précis empruntés à vos lectures et a vos expériences personnelles ?