703 résultats pour "grand+douleur"
- Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (1678) Incipit.
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Amour et Mort m'ont fait outrage
- Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves - Première partie
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Soleil et chair
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« Le personnage dramatique ne commence vraiment à vivre que sur scène. Les diverses interprétations qu'on peut en donner le modifient de façon sensible » de Maurice Desotes dans Les grands rôles du théatre de Racine en 1957. Je doit discuter cette affirmation en un développement organisé, s'appuyant sur des exemples précis tiré du corpus donné c'est à dire Phèdre de Racine, Hernani de Victor Hugo, En attendant Godot de Beckett et Le Roi se meurt de Ionesco.
« Le personnage dramatique ne commence vraiment à vivre que sur scène. Les diverses interprétations qu'on peut en donner le modifient de façon sensible » de Maurice Desotes dans Les grands rôles du théâtre de Racine en 1957. Analyse du sujet et problématisation Ce sujet porte sur le personnage dramatique, c'est-à-dire le personnage de théâtre et il met en jeu la différence entre le texte dramatique et la représentation qui en est faite sur scène. Dire que « le personnage dramatique ne commence...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Si de nouveau j'ai nouvelles couleurs
- Louise Labé (v. 1524-1566), Sonnets, VIII
- Jacques GRÉVIN (1538-1570) - Sa flame est morte et la mienne a pris vie...
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
- Voltaire, Contes en prose et en vers.
- Lazare de SELVE (x-1622) - Sur le passage du torrent de Cédron
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Mélodie de Rubinstein
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) - Sérénité
- Charles GILL (1871-1918) (Recueil : Le Cap Eternité) - Patrie
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Premiers poèmes) - Nuit d'été
- Le Verbe Être - André Breton
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- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Quand nous aurons passé l'Infernale rivière
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Sonnet
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - C'estoit alors, quand, les chaleurs passees
- Louis VEUILLOT (1813-1883) - Poids de la vie
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - La passante
- André Breton, "Le révolver à cheveux blanc" Poésie/Gallimard
- Jean LAHOR (1840-1909) (Recueil : L'illusion) - Ouragan nocturne
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La renaissance et ses visages
Notion Période caractérisée par une forte créativité artistique et un renouveau de l'esprit de l'Antiquité (l'humanisme), qui connaît son apogée entre le XIVe et le XVIe siècle. Au rejet du monde du Moyen Age, considéré comme favorisant le péché, s'ajoutent l'affirmation du temps présent, la formation d'un individualisme intellectuel et artistique et la notion de l'idéal de l'homme éclairé (l'homme universel). Le terme de "Renaissance", qualifiant la transition entre le Moyen Age et les Temps mo...
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- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Chansons) - L'Alchimiste
- Maurice DU PLESSYS (1864-1924) (Recueil : Les Odes) - Ulysse au coeur ruiné
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Aux proscrits
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les moines) - Soir religieux (I)
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Les chambres, dans le soir
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Meschantes nuicts d'hyver
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Les trois chansons du carillon
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l'étude a toujours été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé (Montesquieu) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
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- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Tristesse de septembre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Vers 1820
- Emile NELLIGAN (1879-1941) - Rythmes du soir
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - D'après un Jacquemain
- Stendhal, Le Rouge et le Noir.
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Dans l'allée
- Molière, Tartuffe, Acte III, scène 7
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures claires) - Bien que déjà, ce soir
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- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Quand le soir est tombé dans la chambre quiète
- Pierre Michon, Rimbaud le fils, 1991.
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Derniers vers) - Stances
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Poésies de jeunesse) - Les écrivains
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Montesquieu confie dans ses Cahiers : « l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté ». qu'en pensez-vous ? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement moral, intellectuel...) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
- Etienne DURAND (1586-1618) - Laissez couler, mes yeux, laissez couler vos pleurs
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
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Jacques Vallée Des Barreaux, La vie est un songe
[Introduction] Parmi les troubadours du XXe siècle, la postérité retiendra sans doute les noms de Juliette Gréco, de Léo Ferré, de Jacques Brel qui, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, ont réussi à redonner du lustre à la chanson française en la sauvant de la niaiserie et de la vulgarité. Georges Brassens fut aussi de ceux-là. Par sa gaieté triste, sa poésie libertaire et souvent irrévérencieuse, il s'employa à pourfendre le conformisme et l'hypocrisie. Mais il a aussi chanté l'amour, c...
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Pèlerinage
- Jacques DU LORENS (1580-1655) - Satire XI