Lecture linéaire de «Zone» Alcools Apollinaire

« Lecture linéaire de «Zone» Alcools Apollinaire Eléments d'introduction: Zone appartient au recueil de poème alcools de guillaume Apollinaire un célèbre poète et écrivain français né le 26 août 1880 a rome le recueil de poème est paru en 1913 le souvenirs la nostalgie et la fuites du temps son les thèmes lyriques traditionnels qui sont au cœur de l’œuvre le parcours associé et modernité poétique pour contextualisé alcools date donc du début du 20 ème siècle avant la première guerre mondial.

Composé en 1912, «Zone» est chronologiquement le dernier poème écrit par Apollinaire avant la publication d'Alcools.

Il est pourtant placé en tête du recueil (poème liminaire) et annonce le ton du recueil, entre tradition et modernité.

Vers libres, paragraphes, pas de ponctuation, forme poétique nouvelle pour dire le monde moderne.

Zone est une œuvre de style cubiste, mais c'est aussi un poème élégiaque, lyrique.

Tout au long de son texte,il évoque le monde et les nouveautés qui y sont apportées.Il insiste notamment sur la modernité et la diversité du monde de son siècle car, pour lui, le monde moderne est beau. Problématique: Comment dans ce poème, l'auteur parvient-il à concilier tradition et modernité? Evocation d'un monde ancien mais dans une volonté de le moderniser Une ville vivante et moderne ➢ Structure: - vers 1 à 4: Rejet du monde ancien - vers 5 à 10: L religion est ici considérée comme moderne - vers 11 à la fin: Une ville vivante et moderne - vers 1 à 4: Rejet du monde ancien Idée Citation procédé Analyse Ouverture sur l’idée de «tu es las» «tu en as Rejet du monde ancien refus assez» refus du passé répétition avec variation au niveau du vocabulaire Présence d’un énigmatique «tu» «tu n’es pas antique ô Hypothèses: Christianisme» - le lecteur ( volonté de «toi» «t’y confesser» l’intégrer dans ce « tu lis» monde ) - la ville? - lui-même, un «tu» qui est un «je» - «tu» = christianisme - un personnage non identifié encore Ce «tu» est fluctuant, on ne peut l’identifier avec certitude même si on peut lui donner une valeur autobiographique Une ville vivante car «bergère o tour Eiffel» humanisée Image de la tour Eiffel: ville vivante, «bêle» et «troupeau» ( vie et son ) Personnification de la tout Eiffel qui veille sur ses moutons ( les ponts, nombreux ) image protectrice, fédératrice. Ô: marque de l’éloge, du respect, de l’admiration Confusion /moderne Vise à dénoncer le monde poussiéreux ancien Vivre dans l’antiquité grecque et romaine hyperbole «Même les automobiles ont l’air d’être anciennes» les éléments de modernité paraissent vieux.

Le monde ancien s’impose. - vers 5 à 10: le religion est ici considérée comme moderne Idée citation/procédé analyse Eloge ironique «Ô Christianisme» lyrisme Respect exagéré Vision nouvelle de la «la religion seule est religion restée toute neuve la religion est restée simple» Religion associée à la nouveauté, on peut y voir un paradoxe ( car c’est évidemment qqchose d’ancien ) «comme les hangars de Point commun: le ciel vu port-aviation» de façon symbolique ou L’homme l’église moderne comparaison concrète Pape Pie X Le plus récent , on est ici à la limite de la provocation voire.... »