La lecture est-elle libératrice ?
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C'es
lire pour l'envie de lire, sans contrainte, juste pour prendre connaissance
d'une histoire. C'est cette façon de lire qui est expliqué dans le pamphlet la
littérature à l'estomac de Julien Gracq. Dans ce pamphlet l'auteur explique
les sensations apportées par la lecture d'un livre que l'on a aimé. Ill décrit
des sensations de vitesses, de légèreté, mais surtout de liberté. Donc la
lecture plaisir amène une sensation de liberté, alors cette lecture est une
liberté.
Certaines formes de lectures sont une délivrance, mais d'autres au contraire
amènent à un renfermement. « La lecture est oisiveté, l'oisiveté est mère de
tous les vices, donc la lecture est un vice. » Alors d'après cette citation,
se contraindre à lire, c'est se contraindre au vice. Mais nous ne nous obligeons
pas la plupart du temps à lire, nous y sommes obligés par autrui. Dans les
dictatures, il existe un procédé, la propagande, qui vise à montrer que ce qui
est bon pour le régime en place, on supprime aussi le reste de la littérature,
c'est la censure.
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