étude linéaire Les caractères Théodote

« Intro : presentation de l’oeuvre La Bruyère est avec Pascal et Rochefoucauld 1 des 3 plus grand moraliste Français du classicisme de la fin du XVII siècle.

Les caractères est la continuation de l’œuvre de Théophraste qui est un philosophe grec de l antiquité.

Les Caractères est publie anonymement en 1688, l’œuvre alterne au sein de 16 chapitres des remarque similaires a celles de Pascal et Rochefoucauld et des portraits théâtralisées de la societé vivant sous Louis XIV.

La Bruyère publie 9 édition de son ouvrage qui grandit a chaque nouvel édition jusqu’à quasiment tripler de volume presentation de l extrait L’extrait que nous allons analyser est le portrait de Théodote, un courtisant qui apprécie et recherche la faveur des grands mais d’une manière tellement discrète et médiocre qu il en devient ridicule lecture de l extrait mouvement de l’extrait Le texte se développe en 3 mouvement.

D abord, le portrait physique moral et en action de Théodote.

Puis La Bruyère décrit le portrait général des courtisans avide de faveur et enfin on retourne a Théodote , le courtisan ridicule. Premier mouvement :l1 A 10 (portrait de théodote) La Bruyère commence le portrait de Théodote avec des détails extérieurs afin de donner une image sensible de celui ci au lecteur.

Théodote est d’abord présenté par son nom qui signifie en Grec «le don de Dieu» et avec un habit austère qui lui donne un certain sérieux mais qui est tout de suite contredit avec son visage comique.

Cette adjectif et la métaphore du théâtre « entre sur le scène » donne un rôle et une figure a théodote sur la scène de la cour.

La métaphore continue avec l’ énumération des caractéristique de son jeu dramatique «sa voix, sa démarche, son geste son attitude accompagne son visage », il apparaît de manière hypocrite.

Une fois entre en scène La Bruyère fait un portrait morale péjoratif de Théodote « cauteleux,doucereux, mystérieux » l’assonance en « eux » souligne la fausse douceur et le faux mystère.

Puis le portrait en action apparaît sans transition ou le mystère est concrétisé « il vous dit a l’oreille » puis il est brutalement ridiculisés par le contenue du message inutile « Voilà un beau temps ; voila un grand dégel »Le jeu antithétique « s’il n y a pas les grandes manière, il y a du moins toute les petites » et la périphrase « jeune précieuse » désigne l attitude ridicule comparable a celle d une jeune fille qui.... »