25 résultats pour "voici+"
- Jean GODARD (1564-1630) - Voici le jour, voici l'heure venue
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Nous voici. Dans le ciel naît l'aurore nouvelle
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Me voici seul enfin ...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Voici que la saison décline
- Etienne DURAND (1586-1618) - Voici des vers mourants et des plaintes de cygne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Les quatrains valaisans) - Voici encor de l'heure qui s'argente
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - Voici le rendez-vous des Enfants sans souci
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- Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ (1552-1630) (Recueil : Les Tragiques) - Voici la mort du ciel...
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Voici du seul Phénix pourtraite la figure
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : La bonne chanson) - Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les heures d'après-midi) - Voici quinze ans déjà que nous pensons d'accord
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PAUL CLAUDEL, Partage de Midi, III, fin.
Ysé : Vois-la maintenant dépliée, ô Mésa, la femme pleine de beauté déployée dans la beauté plus grande! Que parles-tu de la trompette perçante ? lève-toi, ô forme brisée, et vois-moi comme une danseuse écoutante, Dont les petits pieds jubilants sont cueillis par la mesure irrésistible! Suis-moi, ne tarde plus! Grand Dieu, me voici, riante, roulante, déracinée, le dos sur la subsistance même de la lumière comme sur l'aile par-dessous de la vague! O Mésa, voici le partage de minuit! et me voici,...
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Marcel Arland
Marcel Arland 1899-1986 Il y a deux Arland. Non pas certes deux hommes, mais deux oeuvres imbriquées l'une dans l'autre et qui, souvent, s'opposent entre elles... Voici d'abord la part la mieux connue, la plus ouverte au public — et qui lui a apporté le succès : elle se confond avec une enquête fiévreuse des chances départies à l'homme dans le monde un peu sot d e l'autre après-guerre. Voici donc des exaltés, des indignés. Certains échappent hors d'Europe, d'autres restent pour démontrer à la vi...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Jules Michelet
Jules Michelet Jules Michelet, né à Paris le 22 août 1798 ; profession ? Allons-nous répondre : "historien" ? Non. Michelet n'écrit pas l'Histoire ni de l'histoire. Il s'en nourrit. Il se gorge du sang noir des morts. Il est celui qui écrit, en septembre 49 : "J'accomplis ici une tâche très rude, d e revivre, refaire et souffrir la Révolution." Et il explique : "Je viens de traverser Septembre (entendons 1793, et non pas 1849). Massacré à l'Abbaye, je vais au Tribunal révolutionnaire, c'est-à-d...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : Huit chansons reverdies) - L'ange
- Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Valentines) - La statue
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - Les cathédrales
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les apparus dans mes chemins) - Celui du rien
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - Les villes
- Gérard de NERVAL (1808-1855) (Recueil : Odelettes) - Les papillons
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson d'autrefois (autre)