18 résultats pour "sombres"
- Gautier, Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- Isaac HABERT (1560-1615) - Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs
- Isaac HABERT (1560-1615) - Sur la sombre minuit qu'une liqueur miellée
- Isaac HABERT (1560-1615) - J'avais longtemps erré par les sombres déserts
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Une douceur splendide et sombre
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Ô Nuit où je me perds, ténèbre affreux et sombre
-
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Les vents grondaient en l'air, les plus sombres nuages
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Dans l'alcôve sombre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Vision sombre ! un peuple en assassine un autre
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
- Certains ont pu considérer les Confessions comme une oeuvre sombre. Votre lecture des quatre premiers livres de cet ouvrage vous conduit-elle à partager ce point de vue ?
-
SENANCOUR (1770-1846), Oberman (1804), Lettre VII.
Lassé de « l'agitation des terres humaines », le narrateur s'est réfugié à Saint-Maurice dans les Alpes. Au cours d'une excursion en montagne, il découvre ce qu'il appelle lui-même « un monde nouveau ». La journée était ardente, l'horizon fumeux, et les vallées vaporeuses. L'éclat des glaces remplissait l'atmosphère inférieure de leurs reflets lumineux ; mais une pureté inconnue semblait essentielle à l'air que je respirais. A cette hauteur, nulle exhalaison des lieux bas, nul accident de lumièr...
-
Marcel Proust, Les Plaisirs et les Jours.
Celui qui est las des chemins de la terre ou qui devine, avant de les avoir tentés, combien ils sont âpres et vulgaires, sera séduit par les pâles routes de la mer, plus dangereuses et plus douces, incertaines et désertes. Tout y est plus mystérieux, jusqu'à ces grandes ombres qui flottent parfois paisiblement sur les champs nus de la mer, sans maisons et sans ombrages, et qui étendent les nuages, ces hameaux célestes, ces vagues ramures. La mer a le charme des choses qui ne se taisent pas la nu...
-
Camus et l'absurdité du monde
Voici des arbres et je connais leur rugueux, de l'eau et j'éprouve sa saveur. Ces parfums d'herbe et d'étoiles, la nuit, certains soirs où le cœur se détend, comment nierais-je ce monde dont j'éprouve la puissance et les forces ? Pourtant toute la science de cette terre ne me donnera rien qui puisse m'assurer que ce monde est à moi. Vous me le décrivez et vous m'apprenez à le classer. Vous énumérez ses lois et dans ma soif de savoir, je consens qu'elles soient vraies. Vous démontez son mécanisme...
-
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes tragiques) - Villanelle
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La dame en noir