Résultats pour "mort"
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - La ville est morte, morte, irréparablement
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - La mort est multiforme...
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Pourquoi la mort est-elle un des thèmes privilégiés de la poésie lyrique ? [Corpus : « Sur un tombeau », Plaintes d'Acante de Tristan l'Hermite ; « Lorsque la mort viendra », Pour un Vitrail de Anne Perrier ; « Les jours bleuiront », extrait des Coqs à l'âne - Norge] ?
L'expression "poésie lyrique" est à prendre avec précaution : si de nombreuses poésies au XIXe sont classées d'emblée dans la poésie lyrique (celles de Lamartine, de Vigny) il reste assez difficile de définir précisément ce qu'on entend par "tonalité lyrique" et "souffle lyrique" : des poètes contemporains, comme Mallarmé ou Apollinaire, semblent aussi exprimer quelque chose qui relève du lyrisme dans leur poésie, bien qu'elle soit très différente de celle de Lamartine. On peut dégager quelques...
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Un manteau de feuille morte
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Chansonnettes) - Viens, mort, à mon secours viens
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Simone) - Les feuilles mortes
- Octave CRÉMAZIE (1827-1879) - Les Morts
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Mort et le Malheureux
- Charles Bukowski, L'amour est un chien de l'enfer, «QUAND JE PENSE A MA PROPRE MORT »
- François VILLON (1431-x) (Recueil : Le testament) - Rondeau (Mort, j'appelle de ta rigueur)
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Curé et le Mort
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villes tentaculaires) - La mort
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Pourquoi la mort est-elle un des thèmes privilégiés poésie lyrique ?
L'expression "poésie lyrique" est à prendre avec précaution : si de nombreuses poésies au XIXe sont classées d'emblée dans la poésie lyrique (celles de Lamartine, de Vigny) il reste assez difficile de définir précisément ce qu'on entend par "tonalité lyrique" et "souffle lyrique" : des poètes contemporains, comme Mallarmé ou Apollinaire, semblent aussi exprimer quelque chose qui relève du lyrisme dans leur poésie, bien qu'elle soit très différente de celle de Lamartine. On peut dégager quelques...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Un ami vif vint à la dame morte
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Quand elle vit à la Mort déployer
- Charles Gaucher de SAINTE-MARTHE (1512-1555) - Il fut un bruit, ô Marot, qu'étais mort
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flambeaux noirs) - La morte
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POurquoi la mort est-elle un des thèmes privilégiés dans la poésie lyriques ?
L'expression "poésie lyrique" est à prendre avec précaution : si de nombreuses poésies au XIXe sont classées d'emblée dans la poésie lyrique (celles de Lamartine, de Vigny) il reste assez difficile de définir précisément ce qu'on entend par "tonalité lyrique" et "souffle lyrique" : des poètes contemporains, comme Mallarmé ou Apollinaire, semblent aussi exprimer quelque chose qui relève du lyrisme dans leur poésie, bien qu'elle soit très différente de celle de Lamartine. On peut dégager quelques...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Mort et le Mourant
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Celui qui va disant que la mort inhumaine
- Catherine DES ROCHES (1542-1587) - Antithèse du somme et de la mort
- Jean BERTAUT (1552-1611) - Complainte sur la mort du feu Roy
- LA MORT D'ISEUT - THOMAS ET BEROUL, Tristan et Iseut, entre 1150 et 1200.
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Odes politiques) - Contre la peine de mort
- Anna de NOAILLES (1876-1933) (Recueil : L'honneur de souffrir) - Vous êtes mort un soir
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : La comédie de la mort) - Me voilà revenu de ce voyage sombre
- Expliquez et discutez la conception de l'art dramatique qui apparaît dans les lignes suivantes : « Quoi! Vous ne concevez pas l'effet que produiraient sur vous une scène réelle, des habits» vrais, des discours proportionnés aux actions, des actions simples, des dangers dont il est impossible que vous n'ayez tremblé pour vos parents, vos amis, pour vous-même? Un renversement de fortune, la crainte de l'ignominie, les suites de la misère, une passion qui conduit l'homme à sa ruine, de sa ruine au désespoir, du désespoir à une mort violente, ne sont pas des événements rares, et vous croyez qu'ils ne vous affecteront pas autant que la mort fabuleuse d'un tyran, ou le sacrifice d'un enfant aux autels des dieux d'Athènes ou de Rome? » (Diderot, Entretiens sur « Le Fils naturel », 1757, Troisième entretien, éd. de La Pléiade, p. 1284) ?
- Ronsard a écrit en 1550 que « la mort guide nos pas » (odes II, 12). Pensez-vous que les poètes doivent en faire un sujet essentiel de leurs textes ?
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Harmonies poétiques et religieuses) - Mon âme est triste jusqu'à la mort !
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"L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste de la politique, l'excitant essentiel de la gloire et des grandes amours, - l'origine d'une quantité de recherches et de méditations." (Valéry)
La condition mortelle de l'homme et la conscience qu'il en a l'invitent à repousser ces limites, ces entraves à son action. L'idée de mort, parce qu'elle est inexorable et représente un mystère insondable, ne déclenche pas un réflexe d'impuissance chez l'homme mais explique au contraire la plupart de ses activités. Ainsi Valéry, préfaçant le livre de James Frazer La Peur des morts écrit : « L'idée de la mort est le ressort des lois, la mère des religions, l'agent secret ou terriblement manifeste...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Autres pensées faites un mois après la mort du roi
- Jean-Jacques LEFRANC DE POMPIGNAN (1709-1784) - Ode sur la mort de J.-B. Rousseau
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le mort joyeux
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les vignes de ma muraille) - Les saints, les morts, les arbres et le vent
- Béroalde de VERVILLE (1556-1626) - De feu, d'horreur, de mort, de peine, de ruine
- Théophile de VIAU (1590-1626) - La frayeur de la mort ébranle le plus ferme
- Théophile de VIAU (1590-1626) - A monsieur de L... sur la mort de son père
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes barbares) - La mort de Sigurd
- Flaubert, Madame Bovary, (la mort de Charles).
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) - L'arbre mort
- Georges de SCUDÉRY (1601-1667) - Sur la mort d'une Dame
- Anatole FRANCE (1844-1924) (Recueil : Les poèmes dorés) - La mort
- Tristan CORBIERE (1845-1875) (Recueil : Les Amours jaunes) - Petit mort pour rire
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Amour et Mort m'ont fait outrage
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les flammes hautes) - Les morts
- Jean LORRAIN (1855-1906) (Recueil : L'ombre ardente) - Le jeune homme et la mort
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De la mort de monsieur de Chissay
- Antoine GODEAU (1605-1672) - Sur les miracles arrivés à la mort de Notre Seigneur
- Robert GARNIER (1535-1601) - Elégie sur la mort de Ronsard
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge