10 résultats pour "honnêtes"
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On a dit de Molière qu'il « côtoie parfois le tragique ». Montrez-le par des exemples précis, sans oublier de faire voir que le poète ne perd jamais de vue la règle essentielle de la comédie qui est de faire rire les honnêtes gens.
MOLIÈRE ET LE TRAGIQUE On a dit de Molière qu'il « côtoie parfois le tragique ». Montrez-le par des exemples précis, sans oublier de faire voir que le poète ne perd jamais de vue la règle essentielle de la comédie qui est de faire rire les honnêtes gens. Introduction : La tragédie a pour objet essentiel d'exciter la crainte et la pitié. Y a-t-il parfois, dans les comédies de Molière, soit du fait des situations, soit du fait des caractères, de quoi exciter ces deux sentiments ? Telle est la pre...
- Pourquoi peut-on dire que la princesse de Clèves de Mme de Lafayette reflète l'idéal de l'honnête homme ?
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Molière fait dire à Dorante dans la Critique de l'École des femmes : « C'est une étrange entreprise que celle de faire rire les honnêtes gens. » Commenter cette formule en montrant de quelle manière Molière fait rire les honnêtes gens. ?
PLAN DÉTAILLÉ A l'époque où, dans la Critique de l'École des femmes, il tait exposer sur la scène par un de ses personnages, Dorante, sa conception de la comédie, Molière se trouve à une étape essentielle de sa carrière. C'est la première fois qu'avec L'École des femmes il vient de réaliser pleinement sa conception de la haute comédie qui s'attache à peindre les ridicules humains. Il ne délaisse pas d'ailleurs pour autant les procédés plus grossiers du comique traditionnel, mais il les fait larg...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - De voir mignon du roi un courtisan honnête
- « La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs ». Commentez ce propos.
- Analysant la complexité de la pensée de Camus sur la religion, Marcel Mélançon conclut : La position la plus honnête (...) est certainement celle qui prend la pensée de Camus là où elle s'est arrêtée : entre le OUI et le NON. On ne peut pas dire qu'il soit athée, puisqu'il a le sens du sacré, on ne peut pas non plus affirmer qu'il soit chrétien puisqu'il l'a refusé. Expliquez et critiquez cette réflexion ?
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L'esprit philosophique du 18e siècle.
Introduction : Nombreux furent les arts cultivés au xviiie siècle ; nombreuses aussi furent les disciplines littéraires. Cependant, la philosophie compta sans contredit le plus d'adeptes parmi les écrivains du temps. L'évolution de la littérature et les chemins rebattus des genres traditionnels de la Philosophie du xviie siècle (métaphysique, psychologie, morale et quelquefois logique) déterminèrent cette science à s'orienter vers de nouvelles voies, quasi inexplorées. L'un des philosophes les p...
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L'abbaye de Thélème (Rabelais, Gargantua, 1534.)
Rabelais, Gargantua, chapitre LVII, L’abbaye de Thélème (orthographe modernisée). Toute leur vie était dirigée non par les lois, statuts ou règles, mais selon leur bon vouloir et libre-arbitre. Ils se levaient du lit quand bon leur semblait, buvaient, mangeaient, travaillaient, dormaient quand le désir leur venait. Nul ne les éveillait, nul ne les forçait ni à boire, ni à manger, ni à faire quoi que ce soit... Ainsi l'avait établi Gargantua. Toute leur règle tenait en cette clause : FAIS CE QUE...
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Lecture linéaire Arrias: : En quoi Arrias est-il contraire à l’honnête homme ?
5 10 15 « Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi ; c’est un homme universel, et il se donne pour tel : il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose. On parle à la table d’un grand d’une cour du Nord : il prend la parole, et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent ; il s’oriente dans cette région lointaine comme s’il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, des femmes du pays, de ses lois et de ses coutumes...
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LA GÉNÉRATION DE 1789
f:.A G:8N:8RATION DE Vi.89. LA GÉNÉRATION DE NA,POLÉON. On s'est étonné de l'obstination avec laquelle Chateau briand, né �m 1768, se rajeunit, toujours d1un an ; on a pensé uniquem�t qu'il s'agissait .pour lui de faire partir d'une année de naissance c9.mmune, 1769, .le parall�lisme où il se complaît entre la �ère de_ Bonaparte et �à sienne. Ce cou_p _ de pouce à l'mguille des chiffres, retenons-le et adoptons-le comme une intention de créer cette réalité : la génération de N�pol...