Résultats pour "discutez"
- Discutez ce propos : Vivre sans l'écrit paraît inconcevable ?
- Discutez ce propos : on ne doit parler, on ne doit écrire que pour instruire ?
- Discutez ce propos : "La grande littérature c'est celle des grandes passions exaltées, violentes, douloureuses" ?
- Discutez ce propos : les lettres nous rendent juste en morale et nous apprend à vivre ?
- Discutez de l'affirmation tout le monde imite, en ne négligeant pas toutes les formes d'art ?
- Discutez ce propos de Voltaire : Je n'estime la poésie qu'autant qu'elle est l'ornement de la raison ?
- Commentez et discutez l'opinion de Marcel Proust : « Dans un monde sans poésie, les rossignols se mettraient à roter » ?
- La poésie est un cri, un message, une alchimie des structures et des mots. Discutez, commentez et illustrez ?
- On divise habituellement la production littéraire en genres. Expliquez ce que l'on entend par là. Discutez et appréciez cette division ?
- Voltaire a reproché aux tragédies classiques d'être de longues conversations partagées en cind actes par des violons. Commentez et discutez ?
- Gouhier dans son oeuvre l'essence du théâtre affirme que "l'âme du théâtre c'est d'avoir un corps". Commentez et discutez cette opinion ?
- Discutez ce propos : la poésie moderne s'écrit en haine du monde. (Le Spleen de Paris, Epilogue, Baudelaire, Ville, Rimbaud, Zone, Apollinaire) ?
- Ce n'est pas de vérité mais de vraisemblance qu'est fait le théâtre, et ce n'est que par l'artifice que l'acteur peut paraître naturel. Discutez ce propos ?
- Commentez et discutez cette appréciation de Fermand Gregh au sujet des Contemplations: Hugo y a passé définitivement du romantisme, du romantisme qui n'était qu'un moment littéraire, à l'humanisme éternel des grands classiques ?
- Discutez cette réflexion de Sainte-Beuve: "La littérature ne me paraît jamais avoir plus de saveur que quand elle vient de quelqu'un qui ne se doute pas qu'il fait de la littérature" ?
- Sainte-Beuve a dit Lorsqu'on dit et qu'on répète que la littérature est l'expression de la société, il convient de ne l'entendre qu'avec bien des précautions et des réserves expliquez et discutez de ceci ?
- Selon Jacques Vier, " Les Lettres Philosophiques soulèvent les principaux problèmes que l'esprit rencontre sur sa route, mais à la faveur d'une promenade à traves un pays, que l'on découvre ; elles renseignent plus qu'elles n'enseignent." Illustrez et éventuellement discutez cet avis critique contemporain ?
- « Atala n'est jamais un "roman psychologique" [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Discutez ce propos ?
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- Dans Nouvel Art de Penser (1954) Jean Guitton donne ces conseils : Ne lis pas une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand trieur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer. Commentez et discutez.
- Selon un critique contemporain, le roman picaresque met en scène avec réalisme une quête de la conscience individuelle à la fois face à Dieu et face à la société hiérarchisée d'Ancien régime. Commentez et discutez à l'aide des textes au programme. (Gil Blas de Lesage ; Moll Flanders de Defoe ; Lazarillo de Tormès) ?
- Expliquez et discutez ce propos de Maurras: La critique littéraire proprement dite consiste à discerner et à faire voir le bon et le mauvais dans les ouvrages de l'esprit, discernement qui suppose deux opérations, tantôt consécutives, tantôt simultanées: le sentiment et l'élection. Il n'est pas de bonne critique qui n'excelle ensemble à sentir et à choisir ?
- A propos des utopies, le philosophe contemporain Cioran affirme : « La nouvelle terre qu'on nous annonce affect de plus en plus la figure d'un nouvel enfer. » Expliquez et discutez cette affirmation en vous appuyant sur le corpus et vos lectures personnelles ?
- Montherlant écrit dans ses Notes de Théâtre (Théâtre, Bibliothèque de la Pléiade, p. 1075) : « Une pièce de théâtre ne m'intéresse que si l'action extérieure, réduite à la plus grande simplicité, n'y est qu'un prétexte à l'exploration de l'homme; si l'auteur s'y est donné pour tâche non d'imaginer et de construire mécaniquement une intrigue, mais d'exprimer avec le maximum de vérité, d'intensité et de profondeur un certain nombre de mouvements de l'âme humaine. » Expliquez et discutez ?
- A propos de l'utopie, le philosophe contemporain Cioran déclare : « Les nouvelles terres qu'elles (= les utopies) proposent affectent de plus en plus la figure d'un nouvel enfer ». Discutez cette affirmation en vous aidant des textes du corpus et d'autres utopies ou contre-utopies que vous connaissez.
- « L'esthétique de l'épopée n'est pas celle du drame : le paroxysme ne se trouve pas à la fin, mais au milieu, comme dans cette chanson où la mort de Roland est la flèche mystique d'une cathédrale héroïque. [...] L'accumulation incantatoire, les répétitions qui tassent le récit, apparentent l'art épique à la musique [...] et à l'architecture, selon une disposition du temps et de l'espace déterminée par une intention symbolique. On veut suggérer l'élan militaire ou mystique, provoquer l'admiration ou l'horreur. » Commentez et discutez ces affirmations de D. Poirion ?
- Expliquez et discutez la conception de l'art dramatique qui apparaît dans les lignes suivantes : « Quoi! Vous ne concevez pas l'effet que produiraient sur vous une scène réelle, des habits» vrais, des discours proportionnés aux actions, des actions simples, des dangers dont il est impossible que vous n'ayez tremblé pour vos parents, vos amis, pour vous-même? Un renversement de fortune, la crainte de l'ignominie, les suites de la misère, une passion qui conduit l'homme à sa ruine, de sa ruine au désespoir, du désespoir à une mort violente, ne sont pas des événements rares, et vous croyez qu'ils ne vous affecteront pas autant que la mort fabuleuse d'un tyran, ou le sacrifice d'un enfant aux autels des dieux d'Athènes ou de Rome? » (Diderot, Entretiens sur « Le Fils naturel », 1757, Troisième entretien, éd. de La Pléiade, p. 1284) ?
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?