7 résultats pour "déterminée"
-
Commentez cette réflexion de P.-A. Touchard dans L'Amateur de théâtre ou la Règle du jeu : « Il y a une fatalité dans le roman comme il y a une fatalité au théâtre, mais la fatalité du roman est dans le personnage, celle du théâtre dans la situation. Le roman tend à nous faire souvenir que l'homme est déterminé par ses propres passions; le théâtre à nous rappeler que son destin demeure le jouet des événements. »
Commentez cette réflexion de P.-A. Touchard dans L'Amateur de théâtre ou la Règle du jeu : « Il y a une fatalité dans le roman comme il y a une fatalité au théâtre, mais la fatalité du roman est dans le personnage, celle du théâtre dans la situation. Le roman tend à nous faire souvenir que l'homme est déterminé par ses propres passions; le théâtre à nous rappeler que son destin demeure le jouet des événements. » En premier lieu, le théâtre de Corneille. Les héros y sont déterminés par l'événemen...
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Caritée) - Puisque je reconnais que le ciel détermine
-
« Il n'y a point de fatalité dans le roman ; au contraire le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même les malheurs ». Partagez-vous ce point de vue ? Vous pouvez vous appuyer sur votre connaissance de l'Assommoir de Zola.
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
- Le roman naturaliste analyse la détermination sociale des individus par les milieux. Le Bonheur des dames est-il un roman naturaliste. Vous traiterez ce sujet dans un développement argumenté.
-
Selon Alain, « il n'y a point de fatalité dans le roman : au contraire, le sentiment qui y domine est d'une vie où tout est voulu, même les passions et les crimes, même le malheur » (Système des Beaux-Arts, 1920). Partagez-vous cette opinion ?
Introduction Jusqu'au milieu du XXe siècle, la lecture des romans apparaît comme une activité licencieuse. Ainsi, le roman dans la société moderne a pour fonction de traiter les interdits, sur un mode fictif, mais dont le discours se constituent en regard de la norme, vis-à-vis de laquelle elle joue le rôle de contrepoids. Dès lors, il convient de s'interroger sur un paradoxe essentiel qui touche le héros de roman, et par extension le lecteur : qu'appelle-t-on une « vie où tout est voulu », dans...
-
Gerard Manley Hopkins
Gerard Manley Hopkins Gerard Manley Hopkins rima dès l'école et se mit sérieusement à la composition poétique pendant ses années d'Oxford (1863-1867). Il passa de l'Anglicanisme à l'Église romaine, après avoir consulté le vieux Newman et, l'Université terminée, il enseigna pendant deux ans chez les Oratoriens de Birmingham, après quoi il jeta tous ses poèmes au panier et joignit la Compagnie de Jésus (1868). Absorbé par sa vocation, il n'écrivit plus pendant sept ans, ce qui ne l'empêcha pas de...
-
La recherche de l'aventure vous paraît-elle déterminée par le goût du risque ou bien par la force de l'imaginaire ?
Chaque année, plusieurs millions de Français lisent des romans d'aventure, montrant combien la recherche de l'aventure, réelle ou livresque, fait partie intégrante de notre imaginaire contemporain. On peut se demander à quelles motivations elle obéit : goût du risque ou force de l'imaginaire, Les deux sans soute, dans un mouvement de liberté individuelle. Nous verrons donc d'abord comment, dans une société trop bien policée, le goût du risque motive l'attrait de l'aventure. Mais l'aventure n'est...