10 résultats pour "déesse"
- Isaac HABERT (1560-1615) - Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance
- Clovis Hesteau de NUYSEMENT (1550-16xx) - Afin qu'à l'avenir on t'adore, ô Déesse
- Salomon CERTON (1552-1615) (Recueil : Vers leipogrammes) - Muse, n'est-ce point là le feu de la Deesse
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les cariatides) - La déesse
- Rainer Maria RILKE (1875-1926) (Recueil : Vergers) - La déesse
- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'
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Charles Baudelaire : Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... (Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, 1857).
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Spleen et Idéal, LXX, « Je n'ai pas oublié, voisine de la ville... ». 1. 2. Je n'ai pas oublié, voisine de la ville, 3. 4. 5. 6. 7. Sa Pomone (1) de plâtre et sa vieille Vénus (2) Notre blanche maison, petite mais tranquille ; Dans un bosquet chétif cachant leurs membres nus, Et le soleil, le soir, ruisselant et superbe, Qui, derrière la vitre où se brisait sa gerbe, Semblait, grand oeil ouvert dans le ciel curieux, 8. Contempler nos dîners longs et s...
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G. de NERVAL, Le Voyage en Orient (1851), [Introduction : vers l'Orient, extraits des chapitres XII et XVI].
Dans ce texte, peuplé de souvenirs mythologiques et inondé de lumière, Gérard de Nerval nous transporte dans un monde fabuleux, riche en couleurs, et qui nous paraît à la limite du rêve et de la réalité. Et nous nous laissons gagner par l'enthousiasme, par l'exaltation fébrile de l'auteur pour découvrir avec lui ce que cache ce mot enchanteur, l'Orient, pays du soleil et dans ces lignes il nous semble entendre les accents d'une musique étrange et langoureuse, surgie du fond des âges. Dès la prem...
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Bergeries) - Douce Liberté désirée
Introduction Philippe Desportes est un poète français du XVI siècle. En marge des poètes de la Pléiade, son œuvre est typiquement celle des poètes de cour. Il devint d’ailleurs le favori du duc d’Anjou, futur Henri III. Nommé « poète officiel », sa plume est moins inspirée et plus conventionnelle que celle des poètes de la Pléiade, pour autant sa gloire ira jusqu’à éclipser celle de Ronsard. Paradoxalement, l’œuvre de Desportes contraste avec celle de ses contemporains : l’enthousiasme divin n’e...
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Giraudoux, Amphitryon 38, acte II, scène 2.
Première partie (4 points) 1. À travers un exemple que vous commenterez brièvement, vous montrerez l'art de traiter avec légèreté un sujet grave. En disant à Jupiter sur un ton péremptoire : Ne me parle pas de ne pas mourir tant qu 'il n 'y aura pas un légume immortel, Alcmène aborde la grave question de la mort, qui sépare les hommes des dieux immortels. Mais l'association aussi saugrenue qu'inattendue de deux termes inconciliables, légume et immortel, introduit une note d'humour car elle relèv...