34 résultats pour "crépuscule"
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Baudelaire - Le Crépuscule du Soir
L'œuvre entière d e Baudelaire présente une unité remarquable en ce sens qu'un seul drame peut, l'expliquer et l'éclairer : celui du poète à la recherche de l'Infini, de l'Idéal, non comme une aspiration romantique vers un « au-delà » — « Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie » — mais bien plutôt comme la quête de l'Essence pure dont le monde n'est qu'une apparence. C'était déjà là le double thème des Fleurs du Mal, Spleen et Idéal. Dans les Cro...
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Crépuscule - Apollinaire, Alcools
Apollinaire dédia le poème Crépuscule issu du recueil Alcools à Marie Laurencin. En composant Crépuscule le poète donna à celui-ci une tonalité très particulière, même ambiguë puisqu'il joue sur une alternance entre les domaines de la réalité et de la fiction. Du poème émane donc une atmosphère de mystère, accentuée par la présence de la mort et la notion de théâtralité. Le poète nous offre en effet une vision de mort. La scène se situe au crépuscule ; la nuit, les ténèbres envahissent les lieux...
- Léon-Pamphile LE MAY (1837-1918) - Crépuscule
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - Crépuscule du matin
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : Intimités) - Le crépuscule est triste et doux comme un adieu
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Au bord de la mer
- Baudelaire, Crépuscule du Matin.
- Éphraïm MIKHAËL (1866-1890) - Crépuscule pluvieux
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Autre chanson
- Stuart MERRILL (1863-1915) (Recueil : Les gammes) - Crépuscule d'automne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Hymne
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Conseils au solitaire
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La maison dort
- Nérée BEAUCHEMIN (1850-1931) (Recueil : Patrie intime) - Crépuscule rustique
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - La voix du soir
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le crépuscule du matin
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- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le crépuscule du soir
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Eté des vieilles joies
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Envoi des feuilles d'automne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque nos heures sont remplies
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - A mademoiselle Louise B.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - L'aurore s'allume
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le sang des crépuscules) - Le vent est doux comme une main de femme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Nouvelle chanson sur un vieil air
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : Des Fleurs de bonne volonté) - Complainte des crépuscules célibataires
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - La pauvre fleur disait au papillon céleste
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
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Émile Zola (1840-1902), Nouveaux Contes à Ninon (1874), "Le Forgeron".
Zola, Nouveaux Contes à Ninon, « Le Forgeron ». J’ai vécu une année chez le Forgeron, toute une année de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière...
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Alfred de Vigny - LES DESTINEES : LA MAISON DU BERGER
Jean-Jacques Rousseau puis les romantiques ont célébré la nature comme un havre de paix, propice à la méditation. A lfred de V igny, bien qu'il ait su décrire les splendeurs de Paris dans ses P oèmes antiques et modernes, nous invite, dans « La M aison du Berger », à quitter les villes pour trouver la liberté dans la campagne. Dans ce poème des Destinées, l'auteur peint les pouvoirs de séduction de la nature, comme la variété des paysages et la beauté du soleil couchant. Il y ajoute d'autres att...