Résultats pour "commentez"
- Commentez cette phrase : L'art ne sert-il qu'à divertir ?
- Commentez ce propos de Balzac : les écrivains n'inventent jamais rien ?
- « J'aime la comédie, elle me délasse, elle me divertit » écrit Sacha Guitry. Commentez.
- Commentez : « L'engagement d'un écrivain ? Je suis neutraliste. J'hésite en face de l'engagement. »
- Commentez la citation de Théophile Gautier : « La poésie est un luxe nécessaire ».
- Commentez cette affirmation : on ne doit parler, on ne doit écrire que pour instruire ?
- Une nouvelle est construite comme un roman, mais un roman en réduction. Commentez.
- « A quoi bon voyager quand on peut voyager magnifiquement sur une chaise ? » Commentez cette citation.
- Je ne lis pas d'autobiographie, l'enfance des uns et des autres ne m'intéresse pas. Commentez cet avis ?
- « Je ne lis pas d'autobiographie, l'enfance des uns et des autres ne m'intéresse pas. » Commentez ce propos
- Commentez et discutez l'opinion de Marcel Proust : « Dans un monde sans poésie, les rossignols se mettraient à roter » ?
- Commentez cette citation de Goethe : « Plus une oeuvre poétique est inaccessible et insaisissable pour l'intelligence, meilleure elle est ».
- "Le mot progrès n'aura aucun sens tant qu'il y aura des enfants malheureux" de A. Einstein. Commentez cette citation ?
- Commentez cette citation de Goethe : "Plus une oeuvre poétique est inaccessible et insaisissable pour l'intelligence, meilleure elle est" ?
- La poésie est un cri, un message, une alchimie des structures et des mots. Discutez, commentez et illustrez ?
- Voltaire a reproché aux tragédies classiques d'être de longues conversations partagées en cind actes par des violons. Commentez et discutez ?
- Gouhier dans son oeuvre l'essence du théâtre affirme que "l'âme du théâtre c'est d'avoir un corps". Commentez et discutez cette opinion ?
- « Le roman flatte le désir ; il en est la rêverie ». Commentez ce jugement de Daniel Poirion à propos du Tristan de Béroul.
- Commentez ce propos d'André Malraux : Le génie du romancier est dans la part du roman qui ne peut être ramenée au récit ?
- « le je de l'autobiographie est le centre du monde, le je du mémorialiste est au centre du monde » Expliquez et commentez cette affirmation ?
- Par rapport à la poétique des Fleurs du Mal, commentez ce propos : Un sonnet ne se fait pas avec des idées mais avec des mots ?
- Commentez cette phrase de Ionesco : « Je ne fais pas de la littérature. Je fais quelque chose de tout à fait différent je fais du théâtre ».
- Commentez ce fameux propos : « Il obtient tous les suffrages celui qui unit l'utile à l'agréable, et plaît et instruit en même temps ». (Art poétique, III, 342-343).
- « La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés qui en ont été les auteurs ». Commentez ce propos.
- Commentez ce jugement de Brunetière: Si nous disons que l'éloquence de Bossuet est essentiellement lyrique, je crois que, pour la définir, il suffirait de développer le contenu de ce mot ?
- Commentez et discutez cette appréciation de Fermand Gregh au sujet des Contemplations: Hugo y a passé définitivement du romantisme, du romantisme qui n'était qu'un moment littéraire, à l'humanisme éternel des grands classiques ?
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Ses yeux plongent plus loin que le monde réel, mais ce monde réel, il sait, quand il veut bien, le voir et le peindre admirablement. Commentez cette appréciation d'!andré Gide sur Victor Hugo ?
INTRODUCTION Ce qui semble le mieux définir le génie de Victor Hugo, c'est la puissance de son imagination. Par ce pouvoir presque magique qu'il avait de transfigurer le réel, le poète nous fait pénétrer dans un univers étrange qui dépasse les limites de nos perceptions ordinaires. Les images de la réalité ne sont pourtant pas exclues de cette oeuvre immense qui paraît se plaire à réunir des éléments hétérogènes. C'est cet aspect du talent de Hugo que Gide retenait lorsqu'il écrivait : « Ses yeu...
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Jean Giraudoux fait dire à un personnage d'une de ces pièces de théâtre c'est d'une simplicité enfantine le propre du théâtre, c'est d'être réel dans l'irréel. qu'en pensez-vous ? Commentez et illustrez votre propos ?
INTRODUCTION Depuis le milieu du xixe siècle, de nombreux artistes cultivent le réalisme ; mais les tentatives d'Henry Becque pour l'acclimater au théâtre n'ont pas fait beaucoup d'émules. Les rapports entre la scène et la réalité sont toujours aussi vivement débattus, et Giraudoux conciliant deux positions extrêmes écrivait à ce sujet : « Le théâtre, c'est d'être réel dans l'irréel. » L'irréel n'est-il pas en effet une nécessité au théâtre ? Les dramaturges contemporains en ont fait volontiers...
- « Le principal avantage de mon art c'est qu'il rend capable de discerner à coup sûr si l'esprit du jeune homme enfante une chimère et une fausseté ou un fruit réel et vrai ? » Commentez ce propos de Socrate.
- Commentez ce qu'à propos d'une pièce de Racine, Antoine Vitez, metteur en scène, déclarait : « Il ne s'agit après tout que d'une conversation sous les lustres. Mais pleine de dangers : on se fait des blessures par les mots qu'on dit ».
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« Le langage nous réintègre à la communauté humaine : il faut écrire l'échec, la maladie, la mort, non pas pour désespérer les lecteurs, mais au contraire pour essayer de les sauver du désespoir. » Commentez cette citation de Simone de Beauvoir.
« Le langage nous réintègre à la communauté humaine : il faut écrire l'échec, la maladie, la mort, non pas pour désespérer les lecteurs, mais au contraire pour essayer de les sauver du désespoir. » Commentez cette citation de Simone de Beauvoir. Analyse du sujet et problématisation : Simone de Beauvoir présente ici les enjeux de la littérature conçue avant tout comme un « langage ». Le « langage » peut être défini comme la faculté que les hommes possèdent d'exprimer leur pensée et de communique...
- Commentez : « la tragédie humaniste vise moins à individualiser les personnages et encre moins à les montrer en action car opposé sous des noms qui les symbolisent, des principes d'action. C'est pourquoi les tragédies de Garnier subordonnent l'action dramatique à la rhétorique ». ?
- Commentez ce jugement de Philippe Van Tieghem: "Le surréalisme est foncièrement anti-mystique, puisque le mysticisme suppose un monde second et le transfert d'un monde à l'autre; la négation du mysticisme évite le déchirement de l'homme et rend l'individu cohérent dans un monde cohérent" ?
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ce propos.
- L'intérêt des Mémoires, des confessions, des autobiographies, tient a ce que la vie de chaque homme devient ainsi un miroir où chacun peut s'étudier, dans une partie du moins de ses qualités ou de ses défauts », écrit Gérard de Nerval (Les Illuminés, 1852). Expliquez et commentez cette affirmation ?
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ces propos sur l'oeuvre de Chateaubriand ?
- Montesquieu dit dans un discours à l'Académie de Bordeaux, en 1725: Il ne faut pas juger de l'utilité d'un ouvrage par le style que l'auteur a choisi: souvent on dit gravement des choses puériles, souvent on dit en badinant des choses très sérieuses. Commentez ces paroles en les appliquant à leur auteur ?
- Dans Nouvel art de penser, J. Guitton donne ces conseils : « Ne lis jamais une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand tireur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer ». Commentez et discutez ?
- Commentez : « Le rire est une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l'objet une impression pénible. La société se venge par lui des libertés qu'on a prises avec elle. Il n'attendrait pas son but s'il portait la marque de la sympathie et de la bonté » ?
- Dans Nouvel Art de Penser (1954) Jean Guitton donne ces conseils : Ne lis pas une prose encore fraîche. Ne lis pas un livre qui vient de paraître. Mais laisse au temps, qui est le grand trieur, le soin de faire la tâche silencieuse qui est d'éliminer. Commentez et discutez.
- Selon un critique contemporain, le roman picaresque met en scène avec réalisme une quête de la conscience individuelle à la fois face à Dieu et face à la société hiérarchisée d'Ancien régime. Commentez et discutez à l'aide des textes au programme. (Gil Blas de Lesage ; Moll Flanders de Defoe ; Lazarillo de Tormès) ?
- Commentez : "À moins de rompre en quelque façon le pacte de solidarité qui le lie à l'oeuvre, le critique n'est capable que de paraphrase ou de pastiche (...) Ainsi, malgré notre désir de nous abîmer dans les profondeurs vivantes de l'oeuvre, nous sommes contraints de nous distancer d'elle pour pouvoir en parler."
- Un critique écrit au sujet des Confessions : « On y voit, plus que l'autoportrait d'un homme tourmenté, le récit rétrospectif d'une destinée malheureuse, tracé par un écrivain pathétique à force de crier son excellent naturel, malade de ses contradictions, avide de s'attirer la sympathie du lecteur ». Commentez cette réflexion d'après votre lecture des quatre premiers livres des Confessions de Rousseau ?
- Un critique contemporain affirme : La comédie vit des changements de rythme, du hasard, et de l'invention dramaturgique et scénique. Cela ne signifie pas toutefois que la comédie bafoue toujours l'ordre et les valeurs de la société où elle opère. Analysez et commentez ces propos en vous appuyant sur Casina ou les tireurs de sort de Plaute, Les Fourberies de Scapin de Molière, et Arlequin serviteur de deux maîtres de Goldoni. ?
- Ce que le théâtre peut montrer de plus émouvant est un caractère en train de se faire, le moment du choix, de la libre décision qui engage une morale et toute une vie. Et comme il n'y a de théâtre que si l'on réalise l'unité de tous les spectateurs, il faut trouver des situations si générales qu'elles soient communesà tous. Expliquez et commentez ces réflexions en vous appuyant sur les pièces de Sartre que vous connaissez ?
- « L'esthétique de l'épopée n'est pas celle du drame : le paroxysme ne se trouve pas à la fin, mais au milieu, comme dans cette chanson où la mort de Roland est la flèche mystique d'une cathédrale héroïque. [...] L'accumulation incantatoire, les répétitions qui tassent le récit, apparentent l'art épique à la musique [...] et à l'architecture, selon une disposition du temps et de l'espace déterminée par une intention symbolique. On veut suggérer l'élan militaire ou mystique, provoquer l'admiration ou l'horreur. » Commentez et discutez ces affirmations de D. Poirion ?
- Commentez ce point de vue de Brunetière sur La Chanson de Roland dans ses Études critiques sur l'histoire de la littérature française : « Le poème est assez mal composé : la Chanson n'a pas de commencement, car la trahison de Ganelon y est sans cause et même sans prétexte ; elle n'a pas de fin, car la victoire de Charlemagne y demeure quasiment sans effet ; elle n'a pas de centre, car la mort de Roland n'y occupe pas plus de place que la bataille de Charlemagne contre les Sarrasins » ?
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : « L'art est-il utile? Oui. Pourquoi ? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières. Il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait, son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus où mordre. Le crime est-il toujours châtié, la vertu gratifiée? Non; mais cependant si votre roman, si votre drame est bien fait, il ne prendra envie à personne de violer les lois de la nature. La première condition nécessaire pour un art sain est la croyance à l'unité intégrale. Je défie qu'on me trouve un seul ouvrage d'imagination qui réunisse toutes les conditions du beau et qui soit un ouvrage pernicieux. » (L'Art romantique, « Les drames et les romans honnêtes ».) ?
- Commentez cette page d'Albert Camus: « L'art formel et l'art réaliste sont des notions absurdes. Aucun art ne peut refuser absolument le réel. La Gorgone est sans doute une créature purement imaginaire; son mufle et les serpents qui la couronnent sont dans la nature. Le formalisme peut parvenir à se vider de plus en plus de contenu réel, mais une limite l'attend toujours. Même la géométrie pure où aboutit parfois la peinture abstraite demande encore au monde extérieur sa couleur et ses rapports de perspective. Le vrai formalisme est silence. De même, le réalisme ne peut se passer d'un minimum d'interprétation et d'arbitraire. La meilleure des photographies trahit déjà le réel, elle naît d'un choix et donne une limite à ce qui n'en a pas. L'artiste réaliste et l'artiste formel cherchent l'unité où elle n'est pas, dans le réel à l'état brut, ou dans la création imaginaire qui croit expulser toute réalité. Au contraire, l'unité en art surgit au terme de la transformation que l'artiste impose au réel. Elle ne peut se passer ni de l'une ni de l'autre. Cette correction, que l'artiste opère par son langage et par une redistribution d'éléments puisés dans le réel, s'appelle le style et donne à l'univers recréé son unité et ses limites. » (L'Homme révolté, pp. 332-333.) ?