218 résultats pour "aimer"
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Jacques Brel, J'aimais
Première partie 1. Le verbe j'aimais Dans le titre et dans la strophe centrale avec ses quatre occurrences, j'aimais signifie «j'étais amoureux de ». Ce sens est renforcé par la proximité de j'ai adoré (v. 15) et de je vous brûlais (v. 20), qui connotent tous deux l'intensité de la passion amoureuse. Mais le verbe prend également le sens atténué de «j'avais du goût pour», aussi bien au vers 1 (J'aimais les fées...) qu'au vers 5 (J'aimais les tours hautes et larges) ou 13 et 14 (J'aimais courir.....
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Diverses poésies) - J'aime bien le savoir, bien que je n'aime à lire
- Georges de SCUDÉRY (1601-1667) - Aimez ou n'aimez pas, changez, soyez fidèle
- Christofle de BEAUJEU (1550-x) - Ha ! coeur que j'aimais tant, et qui m'as tant aimée
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POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE ? Après avoir étudié l'oeuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que
POURQUOI AIMONS-NOUS LA FONTAINE? Après avoir étudié l'œuvre de La Fontaine, un critique contemporain conclut : « Il n'y a pas de note humaine qui ne s'y fasse entendre, l'ironie, l'émotion, la pitié, le courage, le goût du plaisir et de la retraite, l'acceptation de la vie et le besoin du rêve. On voudrait faire sentir pourquoi on l'aime ; mais on n'ose forcer la voix quand on parle du plus discret des poètes. » Vous direz si vous retrouvez dans ces quelques lignes l'impression que vous a laiss...
- La Fontaine et Rousseau ont aimé tous deux la nature. L'ont-ils aimée de la même manière ?
- Paul Eluard, Le Phénix, « Je t'aime »
- Hégésippe MOREAU (1810-1838) - Si vous m'aimiez
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- Jules VERNE (1828-1905) - J'aime ces doux oiseaux...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - J'aime la liberté, et languis en service
- Renée VIVIEN (1877-1909) (Recueil : A l'heure des mains jointes) - Je t'aime d'être faible...
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Vous n'aimez rien que vous, de vous-même maîtresse
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Joies grises) - La chanson de la bien-aimée
- Aimé Césaire
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Théâtre en liberté) - Être aimé
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Il est vrai, jeune Iris, que vous savez aimer
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- Stéphane MALLARME (1842-1898) (Recueil : Autres poèmes) - Si tu veux nous nous aimerons
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - Vous m'aviez dit que vous m'aimiez bien fort
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - J'aime si hautement que je n'ose nommer
- François COPPÉE (1842-1908) (Recueil : L'exilée) - Orgueil d'aimer
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - J'aime le verd laurier, dont l'hyver ny la glace
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dieu) - Âme ! être, c'est aimer...
- Jean-Paul SARTRE « J'aime New York... » (Situations III, 2)
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Quand j'ai pensé en vous, ma bien-aimée
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- Charles VION D'ALIBRAY (1600-1653) (Recueil : Vers moraux) - Aime, si tu le veux, je ne l'empesche pas
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Si j'aime cil, que je devrais haïr
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - J'aime la solitude et me rends solitaire
- Maurice SCÈVE (1501-1564) (Recueil : Délie) - Tant je l'aimais qu'en elle encor je vis
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - C'est en toi, bien-aimé, que j'écoute
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Je t'aime, loin de toi ...
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Des trois sortes d'aimer la première exprimée
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- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Premières poésies) - Sonnet : Que j'aime le premier frisson d'hiver...
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - J'aime tant ce parler bégayement mignard
- Colette, Sido, « Car j'aimais tant l'aube ».
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Selon André Breton, un poème doit être une débâcle de l'intellect. Paul Valéry affirme au contraire: j'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité quelque chose de faible, que d'enfanter à la faveur d'une transe et hors de moi-même un chef d'oeuvre d'entre les plus beaux. Faut-il donc condamner totalement le surréalisme ?
INTRODUCTION C omme tout mouvement littéraire profondément novateur, le surréalisme sus cita de vives réactions d'hos tilité. Elles se manifestèrent avec d'autant plus de vigueur que les nouvelles théories esthétiques étaient plus déconcertantes . A insi, loin d'accepter avec A ndré Breton que le poème fût une « débâcle de l'intellect », P aul V aléry proclamait : «J'aimerais infiniment mieux écrire en toute conscience, et dans une entière lucidité, quelque chose de faible, que d'enfanter à la f...
- Antoine de LA SABLIERE (1624-1679) - Qu'on puisse oublier ce qu'on aime
- François MAYNARD (1582-1646) - Que j'aime ces forêts !...
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Mais je suis belle d'être aimée
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«j'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. »
Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie
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«J'aime à suivre les règles, écrit quelque part Corneille, mais loin de me rendre leur esclave, je les élargis et resserre selon le besoin qu'en a mon sujet. » Ce que vous savez de ses principales pièces vous paraît-il prouver que Corneille aime, comme il le dit, à suivre les règles ? Ne prend-il pas à chaque occasion des libertés avec elles? Dans quelle mesure ces libertés s'expliquent-elles par sa conception de la tragédie? Corneille ne s'est jamais trouvé à l'aise dans le cadre étroit des tr...
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- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - L'une vous aime, et si ne peut savoir
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Les roses que j'aimais ...
- Marguerite de NAVARRE (1492-1549) - J'aime une amie entièrement parfaite
- Pourquoi Ronsard a-t-il été aimé des Romantiques ?
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Chansons) - Aimez-vous le passé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Je t'aime, avec ton oeil candide
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Boris VIAN, Poésies: Ils cassent le monde
Ils cassent le monde En petits morceaux Ils cassent le monde A coups de marteau Mais ça m'est égal Ca m'est bien égal Il en reste assez pour moi Il en reste assez Il suffit que j'aime Une plume bleue Un chemin de sable Un oiseau peureux Il suffit que j'aime Un brin d'herbe mince Une goutte de rosée Un grillon de bois Ils peuvent casser le monde En petits morceaux Il en reste assez pour moi Il en reste assez J'aurais toujours un peu d'air Un petit filet de vie Dans l'oeil un peu de lumière Et le...
- Colette, Sido. « Car j'aimais tant l'aube… » à « …cette gorgée imaginaire »
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- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Un seul je hais, qui deux me fait aimer
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Je suis aimé de la plus belle