137 résultats pour "1524+1585"
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LA POÉSIE AU 16e SIÈCLE
L'élan d'enthousiasme et la prodigieuse vitalité de la Renaissance se font particulièrement sentir dans le domaine poétique. Si des écrivains comme Marot, (1496-1544) encore tributaire de la tradition médiévale, et les représentants de l'école lyonnaise Maurice Scève et Louise Labé, imitateurs des Italiens, apportent un ton neuf, c'est surtout aux poètes de la Pléiade, groupés autour de Ronsard (1524-1585) et Du Bellay (1522-1560) qu'on doit le renouveau de la poésie française. I. UNE HAUTE IDÉE...
- Louise Labé (v. 1524-1566), Sonnets, VIII
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Mélange de poésie) - Sonnet
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Luth, compagnon de ma calamité
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Las ! que me sert que si parfaitement
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Prédit me fut que devait fermement
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ne reprenez, Dames, si j'ai aimé
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Tout aussitôt que je commence à prendre
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Luisant Soleil, que tu es bienheureux
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Pour le retour du Soleil honorer
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Deux ou trois fois bienheureux le retour
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Depuis qu'Amour cruel empoisonna
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Sonnet de la belle cordière
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les oeuvres chrétiennes) - Stances chrétiennes
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Quelle grandeur rend l'homme vénérable
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Quand j'aperçois ton blond chef, couronné
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Je fuis la ville, et temples, et tous lieux
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Après qu'un temps la grêle et le tonnerre
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Oh ! si j'étais en ce beau sein ravie
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - On voit mourir toute chose animée
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Baise m'encor, rebaise-moi et baise
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les oeuvres chrétiennes) - Sonnets spirituels (IX)
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Claire Vénus, qui erres par les Cieux
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- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les Divers élancements d'amour) - Cantique XI
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les Divers élancements d'amour) - Cantique LII
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les Divers élancements d'amour) - Cantique XXX
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les oeuvres chrétiennes) - Cache-toi, beau Soleil...
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - Quand vous lirez, ô Dames Lyonnoises
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Tant que mes yeux pourront larmes épandre
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les oeuvres chrétiennes) - Derniers propos d'un jeune homme
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ô longs désirs, ô espérances vaines
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- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - D'un tel vouloir le serf point ne désire
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Elégies) - Au temps qu'Amour, d'hommes et Dieux vainqueur
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Ô doux regards, ô yeux pleins de beauté
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MICHEL DE MONTAIGNE (Michel EYQUEM, seigneur de)
MICHEL DE MONTAIGNE (Michel EYQUEM, seigneur de) Le parfait honnête homme Né au château de Montaigne, dans le Périgord, dont il prend le nom lorsqu'il en hérite, il reçoit de son père une instruction humaniste en latin et en grec. A l'image de son père pour qui il a une affection profonde, Montaigne commence à Bordeaux une carrière politique et exerce comme son père la charge de magistrat. C'est dans ce cadre qu'il fait la rencontre d'un autre jeune magistrat, Etienne de La Boétie (1530-1563). L...
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Rabelais, Gargantua (1524), « Les propos des bien ivres »
Commentaire de texte : Rabelais, Gargantua (1524), « Les propos des bien ivres » François Rabelais est un des premiers humanistes, arrivant juste après les Grands Rhétoriqueurs (qui tentaient d’améliorer dans leurs œuvres les formes d’écriture du Moyen-Age). A travers ce texte, extrait de son œuvre célèbre Gargantua, Rabelais réforme le style des Grands Rhétoriqueurs pour l’adapter à l’humanisme : il marque ainsi une transition entre ces deux courants. Il est question de montrer que cet extrait...