453 résultats pour "paul"
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - L'ennemi se déguise en l'Ennui
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes saturniens) - Monsieur Prudhomme
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Le poète et la muse
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Jusques aux pervers nonchaloirs
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Dans le lit vaste et dévasté
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Chansons) - Toi qui fais rêver, ô brune
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - Colloque sentimental
Ce mélancolique et vaporeux poème est une des pièces des Fêtes galantes. Le « saturnien'" » VERLAINE — ainsi se qualifiait-il —, qui a toujours, pense-t-il, dans sa vie : « bonne part de malheur et bonne part de bile », a d'abord fréquenté le Parnasse, et son premier recueil Poèmes saturniens en porte en partie la marque. Mais bientôt il se sent emporté « de çà de là », et bien loin de la facture sculpturale d'un LECONTE DE LISLE, c'est vers la musicalité t que son inspiration glisse « brume...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Les chères mains qui furent miennes
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - A Albert Mérat
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - La princesse Bérénice
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Child wife
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Liturgies intimes) - A Charles Baudelaire
Commentaire d’un poème de Verlaine « à Charles Baudelaire » Introduction : Dès l’adolescence, Verlaine est partagé entre les « deux positions simultanées » dont parle Baudelaire « l’une vers Dieu, l’autre vers Satan ». Dans ce poème, Verlaine, qui n’a jamais connu Baudelaire affirme l’influence que ce dernier a eue sur sa poésie, même si les deux hommes n’ont jamais pu se rencontrer. Baudelaire meurt en 1967 ; ce poème peut donc apparaître comme un poème d’adieu. A cette époque, la vie de Verla...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Pantoum négligé
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - La bise se rue à travers
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Les faux beaux jours...
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - La neige à travers la brume
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Que ton âme soit blanche ou noire
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Simples fresques
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Quand l'âge, à me fondre en débris
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Fêtes galantes) - L'amour par terre
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Sur l'océan couleur de fer
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes divers) - Clochi-clocha
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Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Poèmes divers) - Impression de printemps
L’impression vague et fugitive, la perception des nuances de l’âme et l’attachement profond à la mélodie font partie des éléments fondateurs de la poésie verlainienne. « Impression de Printemps » obéit à ce lyrisme spécifique qui fait du poète une figure majeure de la fin du XIXe siècle. Entre précision et imprécision, quelle parole poétique se fait entendre pour dire l’exaltation d’un instant (« un moment si charmant ») ? Quels imaginaires se croisent au sein du poème, faisant signe vers quelle...
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Chansons) - Les trois dames d'Albi
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- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Amour) - Lucien Létinois (I)
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Amour) - Ballade à propos de deux ormeaux qu'il avait
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Pourquoi triste, ô mon âme
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Dixains) - Nane, as-tu gardé souvenir
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Dixains) - Industrieux fils de Dédale
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Bonheur) - La vie est bien sévère
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - A Londres je connus Bella
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Tu fus une grande amoureuse
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- Paul Eluard, Poésie ininterrompue, I, v. 182-220 (1945)
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Romances sans paroles) - Chevaux de bois
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Dixains) - Non, ce taxi, quelle charrette
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Ainsi, ce chemin de nuage
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Compagne savoureuse et bonne
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Princes de la Chine
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - Conseil falot
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Dixains) - Puisque tes jours ne t'ont laissé
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- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Embrassez-moi, petite fille
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Comme les dieux gavant leur panse
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Trottoir de l'Élysé'-Palace
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Il pleuvait. Les tristes étoiles
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Au détour de la rue étroite
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Jadis et naguère) - L'angélus du matin
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - C'était, dans les vapeurs du nard
- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Chansons) - Longtemps si j'ai demeuré seul
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- Paul-Jean TOULET (1867-1920) (Recueil : Contrerimes) - Iris, à son brillant mouchoir
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Odes en son honneur) - Mais Sa tête, Sa tête !