1137 résultats pour "contr+amours"
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Henry Miller
Henry Miller Henry Miller est né à Yorkville, dans l'État de New York, sous le signe du Capricorne. Au bout de quelques mois, sa famille vint habiter Brooklyn, et il se considérera toujours comme un enfant de Brooklyn, un faubourien. Pendant dix ans il vivra comme il dit "dans la rue", la vie intense, joyeuse, anarchique qui était alors celle de ce quartier populaire et qu'il a évoquée avec verve et truculence dans Black Spring (1936). II notera plus tard que cet "ancien voisinage" est sa patrie...
- Jean de LA GESSEE (1551-1596) (Recueil : Les Meslanges) - Doctime amy, qu'Amour docteur anime
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Elle pleurait, toute pâle de crainte
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je vivois mais je meurs, et mon cour gouverneur
- Etienne JODELLE (1532-1573) (Recueil : Les Amours) - Je me trouve et me pers, je m'asseure et m'effroye
- Pernette du GUILLET (1520-1545) (Recueil : Rymes) - Ô vraie amour, dont je suis prise
- Tristan CORBIERE (1845-1875) (Recueil : Les Amours jaunes) - Elizir d'Amor
- Claude HOPIL (1585-1633) (Recueil : Les Divers élancements d'amour) - Cantique XI
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- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Ce jour de Mai qui a la tête peinte
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Premier livre des erreurs amoureuses) - Je fumais tout en mon fort soupirer
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Ces liens d'or, cette bouche vermeille
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Cent et cent fois j'ai désiré pouvoir
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre CV
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Petit nombril, que mon penser adore
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Amourette
- Théophile de VIAU (1590-1626) - Satire première
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- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Tu m'as rendu la veuë, Amour, je le confesse
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Ballade du dernier amour
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Stances au sommeil
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Ame et jeunesse
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Un jour le Ciel était superbement ému
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Cléonice) - Enfin, l'Amour cruel à tel point m'a rangé
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Alfred de Musset
Alfred de Musset La grande chance de Musset est d'avoir exprimé avec bonheur les sentiments de la jeunesse de son temps, et parmi eux quelques-uns des sentiments de la jeunesse de toujours. Cela explique à la fois son vieillissement et sa survie. Il date et il demeure près de nous, ne serait-ce que comme un symbole. Il a mieux : de beaux cris, où la sincérité se mêle à la littérature (est-ce un crime pour un écrivain d'être littéraire ?) ; il a l'indépendance et la franchise. Faire le point sur...
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- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Premier livre des Amours) - Sur mes vingt ans, pur d'offense et de vice
- Charles GILL (1871-1918) (Recueil : Les étoiles filantes) - Premier amour
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Ô Toy par qui jour et nuit je soupir
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Pour donner de ma foi les preuves manifestes
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Benjamin Constant, Adolphe, chap. III
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Le romantisme a été la grande révolution littéraire moderne. On a parlé souvent de réactions contre le romantisme. On a donné ce nom à des mouvements comme le Parnasse, le réalisme, le naturalisme, le symbolisme, le néo-classicisme. Mais il ne serait pas difficile de montrer qu'ils sont bien plutôt des décompositions ou des transformations du romantisme. Commentez ce jugement ?
Introduction. Une vue classique des manuels consiste à montrer le romantisme envahissant la scène littéraire dans les années 1815 à 1830, disparaissant comme école, mais se continuant comme tendance jusqu'en 1843, date de l'échec des Burgraves. Le grand succès de Lucrèce, tragédie « classique » de Ponsard, en 1843, les débuts de Leconte de Lisle vers 1845 semblent amorcer une réaction qui ne s'interrompra plus jusqu'à nos jours. Traiter une œuvre de romantique sera dorénavant une qualification p...
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Prière au sommeil
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- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vers françois) - Quand j'ose voir Madame, Amour guerre me livre
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - J'aime tant ce parler bégayement mignard
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Celui qui va disant que la mort inhumaine
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Méline) - Quand le pilot voit le nord luire ès cieux
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Un jour, quand de lyver l'ennuieuse froidure
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les vaines tendresses) - L'amour maternel
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Ode à la nuit
- Marcel Proust, Du côté de chez Swann, "Un amour de Swann" - Mais le concert recommença et Swann...
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- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - D'un chapeau qui fleuronne
- Alphonse de LAMARTINE (1790-1869) (Recueil : Nouvelles méditations poétiques) - Chant d'amour (VI)
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Sagesse) - Ô mon Dieu, vous m'avez blessé d'amour
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Ô mon coeur plein d'ennuis, que trop prompt j'arraché
- Guillaume Colletet, « Amours de Claudine »
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Pardon, Amour, Pardon : ô seigneur, je te voüe
- Siméon-Guillaume de LA ROQUE (1551-1611) (Recueil : Amours de Narsize) - Bel albâtre vivant qu'un fin crêpe nous cache
- Jean-Antoine de BAÏF (1532-1589) (Recueil : Amours de Francine) - Francine a si bonne grace
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- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les forces tumultueuses) - Vénus
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Dans quelle mesure la mise en scène d'un texte théâtral contribue-t-elle à révéler ou à atténuer le comique ?
Dans Lire le théâtre, Anne Ubersfeld souligne l'importance de la mise en scène pour révéler les potentialités du texte théâtral : la représentation est la somme de T (le texte) et T' (la mise en scène); elle précise que le texte au théâtre est troué, laisse des vides; et c'est à la représentation de combler ces vides. La notion de genre comique complexifie cette réflexion : s'il est évident que la mise en scène permet de déployer le texte, encore faut-il se demander dans quel sens elle le déploi...