Les images [...] ne peuvent suffire, écrit Jean Guéhenno. Vous chercherez quelle est la force des images, ce qui fait à la fois leur utilité et leur danger, et par quoi elles doivent être complétées (livres...).
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Liens utiles
- Je hais les livres; ils n'apprennent qu'à parler de ce qu'on ne sait pas, écrit Jean Jacques Rousseau dans son essai sur l'éducation, Emile. Vous discuterez ce point de vue.
- Bossuet, réfléchissant sur l'utilité de la lecture, écrit dans ses notes personnelles qu'elle «éclaire, éveille, fait chercher» ; Aragon écrit dans une étude sur Joë Bousquet : « Tous les livres se lisent comme on s'endort. [...] Le rêve de l'écrivain s'est substitué au vôtre, vous êtes pris... c'est le sommeil nommé lecture. » Quelles réflexions vous inspirent ces deux jugements opposés ?
- Jean-Baptiste CHASSIGNET (1571-1635) - À beaucoup de danger est sujette la fleur
- Une société qui se mécanise a plus que jamais besoin, pour sauver les personnes, de la poésie libératrice » écrit Jean Onimus dans La Connaissance poétique. Pensez-vous que la poésie, dans ses expressions les plus variées, peut jouer un tel rôle dans la vie moderne ? Justifiez votre réponse par des exemples précis.
- L'écrivain Tchèque Franz Kafka écrit à un ami en 1904 qu'on ne devrait lire que les livres qui vous mordent et vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire ? Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous. Discutez cette réflexion de Kafka en la limitant au genre romanesque. Votre travail s'appuiera sur les textes étudiés en classe et sur vous lectures personnelles.