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commantaire composé électre - Acte 1

Publié le 20/04/2022

Extrait du document

« Le théâtre est un art qui est très vieux.

En effet, les premiers théâtres étaient grecs.

Le théâtre a perduré jusqu’à aujourd’hui. Certains dramaturges modernes comme jean Giraudoux, réécrivent des légendes antiques pour en faire des pièces de théâtre moderne.

Ce dernier a écrit Électre, une pièce inspirée des mythes de Phèdre. L’extrait étudié ici est tiré de l’acte 1.

On assiste à des retrouvailles entre Oreste et Électre.

Leurs parents sont séparés et l’amant de leur mère a assassiné leur père.

Oreste s’est en effet fait bannir de la cité à la mort de son père, le roi.

Durant cet extrait, il va être questions de la haine d’Électre envers sa mère et son amant.

Cette œuvre est vraiment originale en transformant la quête de vengeance en quête de la vérité. Nous pouvons donc nous demander dans quelles mesures la haine représentée ici illustre une quête impossible du bonheur ainsi qu’une haine inexplicable.

Nous allons commencer par analyser cette quête impossible d’Électre pour ensuite décrire cette haine d’Électre, un sujet majeur de l’extrait.

Nous allons finalement voir la passion et le destin des personnages. Durant toute la scène, Oreste sera particulièrement tendre avec Électre.

Cette tendresse l’illustre à de nombreux moments de la scène comme à la ligne 16 « je suis là.

Elle va cesser.

» Dans laquelle le frère devient un frère protecteur.

Ce dernier laisse parler sa sœur même après plusieurs tirades comme à la ligne 27 « je t’en supplie, calme-toi ».

Au niveau de cette ligne, cela fait en effet 20 lignes que sa sœur parle quasiment sans discontinuer.

Il cherche à comprendre sa sœur ce qui suggère une grande tendresse.

De plus, contrairement à sa sœur, il n’éprouve pas de haine.

Durant toute la scène Oreste cherche à apaiser sa sœur par des incitations au calme : « calme-toi » l.27 et l.30.

Il essaye également de ne pas brusquer sa sœur « à mon tour, ne parle pas » l.32. Oreste émet un profond désir de vivre même après un bannissement de plusieurs années.

Il cherche par de nombreuse façon à vivre plus longtemps.

En effet, à la ligne 32 et 33 il arrête le temps « laisse-moi goûter ce soir, ne fut-ce qu’une heure ».il profite des moments de paix et reporte cette haine destructrice à plus tard « nous verrons demain pour la haine » l.32.

Il est nostalgique et regrette le pouvoir qui n’a pas pu avoir aux lignes 35 et 36.

La métaphore ligne 36 « laisse-moi imaginer de quel bonheur ces murs aurais pu être l’écluse » suggère une imagination permanente du bonheur d’Oreste.

Il finit cette tirade par un rappel des noms de familles « que de noms de famille […] noms de bonheur ! » l.37-38, des choses heureuses. Nous avons vu que Électre poursuis une quête du bonheur impossible.

Nous allons maintenant nous interroger au sujet de la haine d’Électre.. »

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