5 résultats pour "vitesse"
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Paul Morand écrit en 1937, à propos de la vitesse, dans «apprendre à se reposer» : « L'homme résistera t-il en à l'accroissement formidable de puissance dont la science moderne l'a doté ou se détruira-t-il en le maniant? Ou bien l'homme sera-t-il assez spirituel pour savoir se servir de sa force nouvelle? » Et vous, quel jugement portez vous sur notre société entièrement liée à la puissance de la vitesse? Vous examinerez la phrase de Paul Morand en étudiant les deux thèses en présence
Paul Morand écrit en 1937, à propos de la vitesse, dans «apprendre à se reposer» : « L'homme résistera t-il en à l'accroissement formidable de puissance dont la science moderne l'a doté ou se détruira-t-il en le maniant? Ou bien l'homme sera-t-il assez spirituel pour savoir se servir de sa force nouvelle? » Et vous, quel jugement portez vous sur notre société entièrement liée à la puissance de la vitesse? Vous examinerez la phrase de Paul Morand en étudiant les deux thèses en présence avant de d...
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : L'Amour passionnée de Noémie) - Sur ses ailes, Amour, d'un vol plein de vitesse
- Paul Morand écrit en 1937, à propos de la vitesse, dans Apprendre à se reposer : L'homme résistera-t-il à l'accroissement formidable de puissance dont la science moderne l'a doté ou se détruira-t-il en la maniant ? [...] Ou bien l'homme sera-t-il assez spirituel pour savoir se servir de sa force nouvelle ? Et vous, quel jugement portez-vous sur notre société entièrement liée à la puissance de la vitesse ? Vous examinerez la phrase de Paul Morand en étudiant les deux thèses en présence,
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Depuis le XVIIIième siècle, on affirmait la concordance des progrès techniques et du progrès moral. Pensez-vous qu'on ait des raisons aujourd'hui de la remettre en cause ?
Pour la plupart des philosophes du XVIIIe siècle, le progrès scientifique et technique qu'ils appelaient d e leurs vœux devait nécessairement s'accompagner d'un progrès moral d e l'humanité tout entière, le second étant d'ailleurs conditionné par le premier. À chaque pas accompli par l'homme dans le champ du savoir, à chaque progrès de l'esprit, devait logiquement correspondre une évolution positive dans le domaine des mœurs. Les penseurs des Lumières comptaient ainsi sur le génie scientifique p...
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Emile Zola, La Bête humaine (le train fou)
Émile Zola, La Bête humaine, chapitre XII, le train fou. Mais Pecqueux, d'un dernier élan, précipita Jacques ; et celui-ci, sentant le vide, éperdu, se cramponna à son cou, si étroitement, qu'il l'entraîna. Il y eut deux cris terribles, qui se confondirent, qui se perdirent. Les deux hommes, tombés ensemble, entraînés sous les roues par la réaction de la vitesse, furent coupés, hachés, dans leur étreinte, dans cette effroyable embrassade, eux qui avaient si longtemps vécu en frères. On les retro...