24 résultats pour "soeurs"
- Max ELSKAMP (1862-1931) (Recueil : La chanson de la rue Saint-Paul) - A ma soeur Marie
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ah ! Vous êtes mes soeurs, les âmes qui vivez
- Victor SEGALEN (1878-1919) (Recueil : Stèles) - Soeur équivoque
- Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Les soeurs de charité
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Ô ville, toi ma soeur à qui je suis pareil
- Guillaume COLLETET (1598-1659) - Les deux soeurs
- Guillaume COLLETET (1598-1659) - De ces deux jeunes soeurs je possède l'aînée
- Flaminio de BIRAGUE (1550-x) - Plutôt les pâles Soeurs me privent de lumière
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- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Les deux bonnes soeurs
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ma soeur la Pluie
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : De la jalousie) - Chaste soeur d'Apollon dont je suis éclairé
- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Enone au clair visage) - Soeur de Phébus charmante
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : Le règne du silence) - Le miroir est l'amour, l'âme-soeur de la chambre
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Voltaire, Zadig, chapitre 6, 1747 « Ministre du roi »
Voltaire, Zadig, chapitre 6, 1747. À la cour du roi de Babylone, le jeune Zadig se fait apprécier pour ses qualités. Il se heurte aux méchants mais, après de nombreuses péripéties, il est nommé ministre du roi. Le roi avait perdu son premier ministre. Il choisit Zadig pour remplir cette place. Toutes les belles dames de Babylone applaudirent à ce choix, car depuis la fondation de l'empire il n'y avait jamais eu de ministre si jeune. Tous les courtisans furent fâchés ; l'envieux en eut un crachem...
- Catherine de BOURBON (1558-1604) - Stances de Madame, soeur du Roi
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - A ma soeur Cécile
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- Jacques PELLETIER DU MANS (1517-1582) - A Très Illustre Princesse Madame Marguerite soeur du Roy
- Au sortir d'une représentation, Stendhal note dans une lettre à sa soeur de 1804 : Les Précieuses Ridicules ont été la pièce la plus comique possible pour les spectateurs à qui elle fut adressée. Vous justifierez ce point de vue ?
- « Atala n'est jamais un "roman psychologique" [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Discutez ce propos ?
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ce propos.
- « Atala n'est jamais un roman psychologique [...], mais un roman de fonctions (frère, soeur, père) sur un fond d'éléments primitifs : cet univers n'est pas réductible à celui de l'auto-analyse, de l'introspection, de la pure aventure intérieure et des tiroirs successivement éclairants ». Commentez ces propos sur l'oeuvre de Chateaubriand ?
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Dans une lettre à sa soeur Pauline Beyle, datée du 3 aout 1804 , Stendhal écrit : Tu sais bien que, dans les romans, l'aventure ne signifie rien:elle émeut, et voila tout ;elle n'est bonne ensuite qu' à oublier. Ce qu'il faut, au contraire,se rappeler, ce sont les caractères. Expliquez l'importance des caractères.
Demande d'échange de corrigé de gaudino claude ([email protected]). Sujet déposé : Dans une lettre à sa soeur Pauline Beyle, datée du 3 aout 1804 , Stendhal écrit : "Tu sais bien que, dans les romans, l'aventure ne signifie rien: elle émeut, et voila tout ;elle n'est bonne ensuite qu' à oublier. Ce qu'il faut, au contraire,se rappeler, ce sont les caractères." Expliquez l'importance des caractères. C' est souvent dans les préfaces à leurs oeuvres que les romanciers justifient leurs choi...
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A propos des personnages du théâtre de Corneille, un cri¬tique écrit : « Ils ne seraient pas des héros s'ils ne devaient à chaque instant lutter contre eux-mêmes... Dans toutes les circonstances critiques, ils laissent percer leur sensibilité. » Vous vous attacherez à mettre en valeur cette sensibilité des héros et des héroïnes des grandes tragédies cornéliennes ?
Le théâtre de Corneille est d'un bout à l'autre une apologie de la volonté et c'est là le côté de son oeuvre que les critiques ont le plus coin plaisamment mis en lumière. Mais leur volonté ne s'exerce pas sans effort : sans cesse ils se trouvent engagés dans une lutte douloureuse contre eux-mêmes. « Dans toutes les circonstances critiques, ils laissent percer leur sensibilité.» I. Les personnages du Cid sont sensibles Don Diègue ne dissimule pas ses inquiétudes quand il attend l'issue du duel q...
- Pontus de TYARD (1521-1605) (Recueil : Douze fables de fleuves) - Épigramme de la fontaine de Narcisse