8 résultats pour "semés"
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Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Je crois que tout mon lit de chardons est semé
Philippe DESPORTES, Les amours d'Hippolyte, « Je crois que tout mon lit de chardons est semé ». 1. Je crois que tout mon lit de chardons est semé ! 2. Qu'il est rude et malfait. Hé ! Dieu suis-je si tendre 3. Que je n'y puis durer ? je ne fais que m'étendre, 4. Et ne sens point venir le Somme accoutumé. 5. Il est après mi-nuit, je n'ai pas l'oeil fermé, 6. Et mes membres lassés repos ne peuvent prendre. 7. Sus Phebus, lève-toi ! ne te fais plus attendre. 8. Et de tes clairs regards rends le cie...
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Poésies inédites) - Tu n'auras pas semé...
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Si mes écrits, Ronsard, sont semés de ton los
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les antiquités de Rome) - Comme le champ semé en verdure foisonne
- Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage écrit Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés confirment-ils cette affirmation ?
- « Je veux semer dans les coeurs, au milieu de mes paroles indignées, l'idée d'un châtiment autre que le carnage », écrit V. Hugo à son éditeur à propos des Châtiments. Les livres des Châtiments que vous avez étudiés illustrent-ils cette affirmation ?
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Il faut semer par poignées et non par sac entier
XELpl 8Eiv ••• a 11.e(pe:Lv, ci~>.à p.q 6A.ff) TfÎI 8uA.ciKc,, U faut semer par poignées et non par sac entier Selon Plutarque (Bellone an pace clariores fuerint Athenienses9 348a) ces paroles auraient constitué l'avertissement ironique de la poétesse Corinna à Pindare. Cet appel à la parcimonie et à la modération est encore vivant dans nos traditions proverbiales : cf. en dialecte de Bologne Bisaggna sumnèr con la man, brisa con al sac (qui est parfois utilisé dans le même sens que...
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Miguel Angel Asturias
Miguel Angel Asturias Que ce soit dans l'étroit bureau du journal radiophonique de Guatemala " Diario del Aire ", où je l'ai connu jadis, dans un restaurant du Quartier latin ou dans le grand appartement de Buenos Aires toujours empli de livres et d'amis choisis, Miguel Angel Asturias donne une impression de puissance tranquille et réfléchie, puisée aux sources mêmes de la Nature américaine au sein de laquelle il est né. C'est dans ce Guatemala de la Asunción que naquit l'écrivain, dans la quiét...