14 résultats pour "seins"
- Pierre de MARBEUF (1596-1645) - Le sein d'Amaranthe
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Primevère) - Que ton fruit de sang qui loge en mon sein
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s'attachant à définir le réalisme de Balzac, un critiquesouligne son souci d'enraciner prfondément ses personnages dans un milieu, decréer autour d'eux une atmosphère. En vous limitant à l'étude d'un roman de Balzac à votre choix, vous étudierez les éléments qui composent cette atmosphère et vous en montrerez l'importance et l'intérêt au sein de ce roman ?
INTRODUCTION O n a souvent reproché à Balzac la lenteur laborieuse de ses expositions, et le lecteur pressé ne se fait guère scrupule de parcourir d'un oeil distrait les longues pages consacrées à la description des cadres et à la peinture des milieux. P ourtant, outre l'intérêt documentaire et pittoresque qu'ils présentent, ces développements se justifient dans une optique générale de l'oeuvre. C ar les personnages sont étroitement solidaires de l'atmosphère dans laquelle ils vivent. A vant mêm...
- Gautier, J'ai laissé mon sein de neige
- Charles LE GOFFIC (1863-1932) - Quand, du sein de la mer profonde
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Espana) - J'ai laissé de mon sein de neige
- Louise LABÉ (1524-1566) (Recueil : Sonnets) - Oh ! si j'étais en ce beau sein ravie
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je ne veux point fouiller au sein de la nature
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Baudelaire « A celle qui est trop gaie », LES FLEURS DU MAL, paru en 1857.
Ce poème fait partie des pièces censurées des Fleurs du Mal ,qui ont valu a Baudelaire son procès . Le poète joue en effet dans ces pièces avec le non-dit, les insinuations, et les codes sociaux en vigueur a l'époque, qui définissent ce qui est bienséant. Il peut être intéressant de regarder dans ce poème comment s'articulent, d'une part, l'acceptation des codes de la bienséance et des codes de la poésie classique ; et d´autre part, le jeu subversif du poète avec ces codes, jeu qui lui a valu la...
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Germain NOUVEAU (1851-1920) (Recueil : Autres vers) - Mendiants
Germain NOUVEAU, Autres vers, « Mendiants ». 1. Pendant qu'hésite encor ton pas sur la prairie, 2. Le pays s'est de ciel houleux enveloppé. 3. Tu cèdes, l'oeil levé vers la nuagerie, 4. A ce doux midi blême et plein d'osier coupé. 5. Nous avons tant suivi le mur de mousse grise 6. Qu'à la fin, à nos flancs qu'une douleur emplit, 7. Non moins bon que ton sein, tiède comme l'église, 8. Ce fossé s'est ouvert aussi sûr que le lit. 9. Dédoublement sans fin d'un typique fantôme, 10. Que l'or de ta pr...
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Rimbaud, « Ophélie »
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
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Arthur RIMBAUD (1854-1891) (Recueil : Poésies) - Ophélie
Sujet: Rimbaud, « Ophélie » I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir Voici plus de mille ans que sa douce folie Murmure sa romance à la brise du soir Le vent baise ses seins et déploie en corolle Ses grands voiles bercés mollement par le...
- Maurice de GUÉRIN (1810-1839) - Glaucus
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Poèmes antiques) - Glaucé