13 résultats pour "rat"
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Rat de ville et le Rat des champs
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Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Rat qui s'est retiré du monde
Introduction Cette fable semble bien avoir été inspirée par un fait d'actualité. Le clergé régulier avait protesté contre une forte imposition dont on voulait le charger, alléguant « qu'il ne devait au roi que ses prières, comme la noblesse son sang ». En écho à cet événement, la verve satirique de La Fontaine s'exerce à l'égard du rat dont l'égoïsme hypocrite s'interdit le moindre geste généreux, à l'égard de ses frères de race. Elle s'annonce d'une manière suggestive dans le récit qui constitu...
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Lion et le Rat
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Chat et un vieux Rat
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Grenouille et le Rat
- La Fontaine, Fables, livre VII, 4 « Le Rat qui s'est retiré du monde ».
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Conseil tenu par les Rats
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Mais on ne choisit pas sa vocation, on la réussit ou on la rate, c'est tout. Quelle image du héros moderne est ici proposée? Correspond -t-elle à votre représentation de ce que doit être un héros ?
Sujet : Mais on ne choisit pas sa vocation, on la réussit ou on la rate, c'est tout. Quelle image du héros moderne est ici proposée? Correspond-elle à votre représentation de ce que doit être un héros ? La formule : « mais on ne choisit pas sa vocation, on la réussit ou on la rate, c'est tout » affirme que l'on ne choisit pas son destin, qu'on le subit, de la sorte sa finalité est indépendante de notre volonté et affronte la fatalité. Aussi faut-il supposer que le héros lui-même ne choisit pas...
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- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Combat des Rats et des Belettes
- « C'est propre la tragédie. (...) Et puis surtout c'est reposant la tragédie, parce qu'on sait qu'il n'y a plus d'espoir, le sale espoir ; qu'on est pris, qu'on est pris comme un rat, avec tout le ciel sur notre dos, et qu'on n'a plus qu'à crier, pas à gémir, non, pas à se plaindre, - à gueuler à pleine voix ce qu'on avait à dire, qu'on avait jamais dit et qu'on ne savait peut-être même pas encore ». Dans quelles mesures cette définition de la tragédie correspond-elle à Phèdre de Racin
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les campagnes hallucinées) - Chanson de fou (3)
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - A son ami lion
- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - La Souris métamorphosée en fille