19 résultats pour "promeneur"
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ROUSSEAU - (Rêveries du promeneur solitaire, v.)
Quand le soir approchait, je descendais des cimes de l'île, et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac, sur la grève, dans quelque asile caché. Là, le bruit des vagues et l'agitation de l'eau, fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation, la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, sup...
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ROUSSEAU - Rêveries du promeneur Solitaire - Septième Promenade.
A la fin de sa vie, Rousseau cherche à donner l'impression de la sérénité retrouvée après de longs dérèglements et d'une paisible préparation à la mort, se présente « comme un navigateur entrant au port après avoir échappé au naufrage et s'abandonnant désormais, la tempête apaisée, au doux ^bercement des flots ». Il feint de croire que le temps de « penser assez profondément » est pour lui passé et ne veut plus que s'adonner à la rêverie et à la botanique. . Des dix promenades qui constituent le...
- Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire - Cinquième Promenade.
- Rousseau, les Rêveries du promeneur solitaire. Dixième Promenade
- J-J. Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, Première promenade, 1778.
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Mon amie
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - La blessure
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Histoire d'une amitié
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- Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, cinquième promenade
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Les rues et les verres vides
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Pour veiller ce soir d'hiver
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Comme parle et se tait une fille des hommes
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Amour, je ne viens pas dénouer vos cheveux
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Que m'importe de vivre heureux, silencieux
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Les fontaines ornées d'écume et d'armes blanches
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Il pleut. je n'ai plus rien à dire de moi-même
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- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Chaque jour un oiseau rencontre ce garçon
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Grande bête dorée, Amour couleur de femme
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Malraux, dans l'Homme précaire et la littérature, écrit que « le génie du romancier est dans la part du roman qui ne peut être ramené au récit ». Vous commenterez et éventuellement discuterez cette affirmation à la lumière d'exemples précis empruntés à votre expérience personnelle de lecteur de romans ?
Analyse du sujet et problématisation : Il s'agit d'abord d'expliquer cette citation de Malraux sur le génie du romancier. Malraux semble ici postuler l'existence d'un champ du roman qui se situerait hors du récit et qui serait le siège du génie. Le roman est divisé en deux champs : d'une part un champ qui serait celui du récit, c'est-à-dire, celui de la narration d'une histoire, de la description d'un cadre spatio-temporel dans lequel évoluent des personnages, d'autre par, un autre champ qui ser...