19 résultats pour "pluie"
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les villages illusoires) - La pluie
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Les névroses) - La pluie
- Jean RICHEPIN (1849-1926) (Recueil : La chanson des gueux) - Ce que dit la pluie
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ma soeur la Pluie
- Ponge, Le Parti pris des choses, « la pluie »
- Pierre LOUŸS (1870-1925) (Recueil : Les Chansons de Bilitis) - La pluie
- Zola, Au bonheur des dames.[Denise se trouve devant le Bonheur des Dames un soir de pluie.]
- Gautier, Pluie, in Premières Poésies
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- Jean MORÉAS (1856-1910) (Recueil : Les Stances) - Eau printanière, pluie harmonieuse ...
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Soir de pluie
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Premières poésies) - Pluie
- Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT (1594-1661) - La pluie
- Maurice ROLLINAT (1846-1903) (Recueil : Paysages et paysans) - Pendant la pluie
- Marc de PAPILLON DE LASPHRISE (1555-1599) (Recueil : Les Amours de Théophile) - Que ne suis-je échangé en précieuse pluie
- Louis BOUILHET (1822-1869) (Recueil : Dernières chansons) - La pluie venue du Mont Ki-Chan
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Ce soir après la pluie est doux...
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Guy de MAUPASSANT (Une vie, 1883)
Introduction Dans Une Vie, Guy de Maupassant raconte l'existence malheureuse d'une héroïne, Jeanne, dans sa Normandie natale. Mais au début du roman, la jeune fille est encore naïve et pressée de connaître toutes les joies de l'existence qu'elle a imaginées dans le couvent où se déroula une partie de son enfance. Durant le voyage de retour vers la demeure familiale, ses parents et la servante l'accompagnent dans leur berline. Il pleut sur le paysage normand. Maupassant s'attache à décrire avec r...
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Simone SCHWARZ-BART, Pluie et vent sur Télumée-Miracle.
Le plus mystérieux d'entre eux était un certain Tac-Tac ainsi nommé à cause de son voum-tac, l'énorme flûte de bambou qu'il portait toujours à l'épaule, suspendue pour l'éternité. C'était un vieux nègre couleur de terre brûlée, avec une figure un peu plate où venaient s'ouvrir deux yeux perdus, qui roulaient sur vous avec surprise et précaution, toujours émerveillés, dans l'étonnement de retrouver bêtes et gens. Il habitait cahute logée dans un arbre et à laquelle il accédait par une échelle de...
- Émile VERHAEREN (1855-1916) (Recueil : Les bords de la route) - Il fait novembre en mon âme