21 résultats pour "interrogeant"
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Claude Roy définit ainsi la fonction de l'écrivain, dans Le Commerce des classiques, 1953 : « Il v a des hommes dont le métier est de répondre aux questions, de résoudre les problèmes. l'homme politique et le mathématicien, l'ingénieur et l'arpenteur, leur métier c'est d'avoir réponse à tout. Le romancier, le poète, le critique, etc., leur métier est d'avoir question à tout, c'est de s'interroger et d'interroger, c'est de mettre en question ce que personne ne songeait à mettre en quest
Lécri,·ain, la littérature et !"art Claude Roy définit ainsi la lom:tiou de l'écrivai n, dans Le Commerce drs classiques, !953 : « Il y a le hommes dont le métier est de répond re atLx que tious. de résoudre les problèmes. L'homme politique et le mathématicien, l'ingénieur et l'arpenteur, leur métier c'est d'al'oir réponse à toul. Le romancier le poète, le critique, etc., lem métier e t d'avoir que Lion à touL c'e t de 'interroger et d'imerroger, c'est de mettre eu question ce que per ou ne ne...
- « Les utopies sont déprimantes parce qu'elle ne laissent place au hasard, à la différence, aux divers... Tout y a été mis en ordre et l'ordre règne », disait Georges Perec. Il rejoint René Char qui s'interrogeait : « Comment peut-on vivre sans inconnu devant soi ? » Vous vous interrogerez à partir de ces propos, dans un développement argumenté, sur la portée de l'utopie ?
- Vous vous interrogerez sur le rôle de l'imagination en poésie ?
- Dans quelle mesure on peut dire que le théâtre du XVIIIe siècle est une interrogation sur les contraintes que représentent les préjugés sociaux ?
- Vous vous interrogerez sur les raisons qui incitent le « véritable voyageur » à rendre compte de tout ce qu'il a vécu au cours de ses voyages ?
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Après la lecture d'un roman épistolaire, vous vous interrogerez sur l'intérêt qu'il y a à choisir ce mode d'écriture pour raconter une histoire ?
Le roman est un genre littéraire aux contours mouvants, caractérisé pour l'essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue, ce qui le distingue de la nouvelle (celle-ci étant traditionnellement un genre littéraire de faible durée). Le roman peut également être défini comme un ouvrage en prose, laissant une forte place à l'imaginaire. Milan Kundera le caractérise comme « forme exploratoire de la vie » en tant qu'il se rapporte aux incarnations diverses de la vie humaine au cours de...
- Vous vous préparez à écrire votre autobiographie. Vous vous interrogez sur vos souvenirs d'enfance, sur les choix que vous ferez parmi eux, sur les anecdotes que vous raconterez ou passerez sous silence. Comme Nathalie Sarraute, vous dialoguez avec vous-même ?
- « Nous sommes tous malades et nous ne savons lire que des livres qui traitent de notre maladie » écrit Cocteau dans La Difficulté d'être. Vous vous interrogerez sur ce jugement que vous commenterez, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
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- En justifiant votre réponse à l'aide des oeuvres que vous avez lues, vues, ou étudiées, tentez de répondre à cette interrogation de Denis de Rougemont : « Pourquoi préférons-nous à tout autre récit celui d'un amour impossible ? »
- P. Jaccottet écrit : « Les oeuvres ne nous éloignent pas de la vie, elles nous y ramènent, nous aident à mieux vivre, en rendant au regard son plus haut objet ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous avez appréciées ?
- Les fables font souvent appel aux animaux, et de nombreux autres textes les mettent en scène ou évoquent des métamorphoses. Vous vous interrogerez sur cette présence des animaux dans la littérature et sur ses significations possibles.Vous pourrez également vous appuyez sue des références cinématographique ?
- Le romancier Simenon écrit : « Un personnage de roman, c'est n'importe qui dans la rue qui ira jusqu'au maximum de lui-même, et mon rôle à moi, romancier, est de le mettre dans une situation telle qu'il y soit forcé ». Vous vous interrogerez sur ce jugement en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- Dans l'Avant-propos de son Histoire de la littérature française, G. Lanson écrit : »La littérature n'est pas objet de savoir : elle est exercice, goût, plaisir. On ne la sait pas, on ne l'apprend pas : on la pratique, on la cultive, on l'aime ». Vous vous interrogerez sur ce jugement, en vous référant aux oeuvres littéraires que vous connaissez ?
- Sous la forme d'un monologue intérieur, évoquez l'évolution des pensées de ce voyageur, absorbé dans la contemplation des cimes nuageuses ; vous pourrez, par exemple, vous interroger sur le motif de sa promenade, ce qu'il ressent à l'instant où il contemple les montagnes à ses pieds, les sentiments qu'il éprouve et les sensations qui accompagnent ces sentiments ?
- Vous vous interrogerez sur les raisons qui incitent le « véritable voyageur » à rendre compte de tout ce qu'il a vécu lors de ses voyages. Après avoir défini « le véritable voyageur », en prenant appui sur les textes du corpus, vous vous demanderez, sans vous limiter aux textes proposés, ce que la relation d'un voyage, quel que soit le genre adopté (autobiographie, récit de voyage, journal, poésie) peut apporter aux lecteurs. En vous fondant sur vos connaissances et vos lectures person
- « Si un homme n'a jamais lu les bons auteurs, les livres qui bouleversent les coeurs et les intelligences de millions de lecteurs, s'il ne peut réciter une ou deux douzaines de vers de son poète favori - n'en aurait-il qu'un - celui-là est condamné à l'indigence spirituelle, à vivre à « mi-coeur » ; il se prive d ; il se prive dune part immense des joies que procure la connaissance du beau ». Lev Kassil, le Courrier de l'Unesco, février 1968. Vous vous interrogerez sur ce jugement en v
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- Après avoir écrit : « Au même Baudelaire appartient une autre initiative. Le premier parmi nos poètes, il subit, il invoque, il interroge la Musique... », Paul Valéry affirme : « Ce qui fut baptisé : le Symbolisme, se résume très simplement dans l'intention commune à plusieurs familles de poètes (d'ailleurs ennemies entre elles) de reprendre à la Musique leur bien. » (Variété I, Avant-propos à « La connaissance de la Déesse », pp. 95 et 97. Valéry pense à la phrase où Mallarmé parle d'
- Guy de Maupassant, s'interroge sur les buts du romancier et Molière sur le devoir de la comédie. A partir de leur réflexion et de la vôtre, vous vous interrogerez sur les buts de l'écrivain en vous fondant sur les textes vus en classe et sur vos connaissances personnelles sans vous limiter forcément aux romanciers et aux dramaturges.
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Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ?
Dans quelle mesure la poésie vous semble-t-elle particulièrement apte à susciter une remise en question du langage ? Analyse du sujet et problématisation : Le sujet porte sur la définition du genre poétique. Il interroge sur l'essence de la poésie. Qu'est-ce que la poésie ? Est-ce une réflexion sur le langage ? Le sujet met en rapport deux pôles distincts, la poésie et le langage en interrogeant sur les rapports qui existent entre ces deux concepts. De par son étymologie, le terme « poésie » vie...
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Sujet : Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique, que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peut-on dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre, une interrogation sur l’autre ?
Dissertation, les Essais, Montaigne Sujet : Dans le premier livre des Essais, Michel de Montaigne explique, que, pour se former, il faut « frotter et limer notre cervelle contre celle d’autrui ». En quoi peuton dire que l’humanisme, à la Renaissance, se caractérise par une ouverture à l’autre, une interrogation sur l’autre ? L’homme sous tous ses angles est au centre de la réflexion des humanistes. Ces derniers s’intéressent alors à la formation de l’individu d’où leur soif de connaissance...
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Un grand nombre d'oeuvres romanesques et théâtrales prennent pour sujet l'amour malheureux, l'échec sous des formes diverses, la mort, et quelquefois des calamités telles que la peste ou la guerre. Quel intérêt et quel plaisir vous prenez à l'évocation de sujets qui, dans le monde réel, vous paraissent pénibles ?
Introduction Écrire relève-t-il d'un fondamental pessimisme? On peut se poser la question quand l'on considère le nombre d'œuvres romanesques et théâtrales prenant pour sujet l'amour malheureux, l'échec, la mort et quelquefois des calamités telles que la peste ou la guerre. On peut également se demander pourquoi ces thèmes « négatifs » attirent et séduisent les lecteurs. Si l'on admet que le plaisir de voir souffrir autrui ne concerne que peu d'entre eux, on devra chercher d'autres raisons. Or,...