7 résultats pour "dégoûté"
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Ecrivez un conte à partir de cette moralité :
« Quand d'une charmante beauté
Le galant fait le dégoûté
Il a beau dire, il a beau feindre
C'est qu'il n'y peut atteindre ».
Situez votre conte à l'époque contemporaine, sur des oppositions simples, un schéma narratif très net, la présence du merveilleux et les interventions du narrateur
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Écrivez un conte à partir de cette moralité : « Quand d'une charmante beauté Le galant fait le dégoûté Il a beau dire, il a beau feindre C'est qu'il n'y peut atteindre ». Situez votre conte à l'époque contemporaine, sur des oppositions simples, un schéma narratif très net, la présence du merveilleux et les interventions du narrateur. « Quand d'une charmante beauté Le galant fait le dégoûté Il a beau dire, il a beau feindre C'est qu'il n'y peut atteindre » et notre histoire va de nouveau confirm...
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Montesquieu confie dans ses Cahiers : « l'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture ne m'ait ôté ». qu'en pensez-vous ? Quel rôle assignez-vous vous-même à la lecture dans votre vie d'adolescent d'aujourd'hui (divertissement, enrichissement moral, intellectuel...) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
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L'évolution poétique de Stéphane MALLARME
Stéphane Mallarmé apparaît, lors de ses débuts dans la poésie, comme un disciple de Baudelaire, dont il imite l'art et l'inspiration : il exprime son dégoût de la réalité vulgaire et son besoin d'idéal. Son originalité commence à se dégager nettement dans Hérodiade et L'Après-Midi d'un faune. Mais son influence s'exerce surtout à partir de 1884, grâce aux réunions du mardi qui se tiennent dans son appartement, rue de Rome. Pour ses disciples, Mallarmé tente de définir et de réaliser l'ambition s...
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Discutez de l'affirmation de Victor Hugo : ...ton libérateur, c'est le livre ?
La citation est extraite du poème A qui la faute de Victor Hugo. Elle est prononcée par un révolutionnaire qui surprend son camarade en train d'incendier une bibliothèque (pendant la Commune de 1870). La notion de « libération » se voit donc d'emblée rattachée à sa signification politique. Pourtant, le texte écrit exerce sur les individus une puissance qui n'épargne aucun domaine, et qu'il serait tentant de considérer non pas comme un « guide », mais comme une tyrannie. Quelle est donc cette lib...
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JEAN DE LA BRUYÈRE
JEAN DE LA BRUYÈRE Homme d'un seul livre (les Caractères, 1re éd. 1688) et seul écrivain d'un genre, qu'il inaugure et porte à sa perfection, La Bruyère paraît, en littérature, aussi isolé qu'il le fut dans son existence d'homme de lettres, précepteur dans la famille des Condé. Il est peint comme moqué par les grands et traité avec condescendance par ses amis, qui soulignent la touchante volonté de plaire de ce « fort bon homme ». Son livre semble le négatif de sa personne. Acharné dans le dénig...
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l'étude a toujours été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé (Montesquieu) ?
Montesquieu était l'homme le plus équilibré qui fût jamais. C'était un intellectuel, comme nous dirions maintenant, non un sentimental, ni un passionné. Et comme il commence par nous déclarer : Je n'ai jamais eu de chagrin, encore moins d'ennui, nous ne nous étonnons pas de l'entendre dire : L'étude a toujours été pour moi.... N'allons pas croire, cependant, que cette pensée ne nous révèle qu'un trait de caractère. I. Sens précis des mots. Au lieu de nous récrier sur le manque de coeur et la séc...
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« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature.
« Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien; tout ce qui est utile est laid, car c'est l'expression de quelque besoin, et ceux de l'homme sont ignobles et dégoûtants comme sa pauvre et infirme nature », écrivait Th. Gautier. Que pensez-vous de ce jugement? Vous direz, en particulier, en empruntant vos exemples à vos propres lectures, quelle utilité vous reconnaissez aujourd'hui à la littérature. Développement Les musées sont pleins d'objets que nous trouvons beaux mais que...