70 résultats pour "clement"
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Ballade de frère Lubin
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De l'amant marri contre sa dame
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - J'attends secours de ma seule pensée
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Plaisir n'ai plus, mais vis en déconfort
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui de qui l'amie a fait nouvel ami
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui ne pense qu'en s'amie
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Au seigneur Theocrenus, lisant à ses disciples
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De la jeune dame qui a vieil mari
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- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Tant que vivrai en âge florissant
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Dieu gard ma Maîtresse et Régente
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui incite une jeune dame à faire ami
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Du disciple soutenant son maître contre les détracteurs
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Des trois couleurs, gris, tanné et noir
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Ballade de s'amie bien belle
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui, qui est demeuré, et s'amie s'en est allée
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui nouvellement a reçu lettres de s'amie
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- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - De celui qui entra de nuit chez s'amie
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Épitaphe de Jehan Serre, excellent joueur de farces
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LA PLÉIADE
LA PLÉIADE En 1519, un écrivain bien oublié aujourd'hui, Claude de Seyssel, réclame une «littérature française» et s'élève contre l'abus des langues anciennes. Sous l'influence de l'humanisme, du culte de l'Antiquité, un danger menace en effet les lettres françaises : la place excessive, le monopole peut-on dire, du latin. De fait, les poètes, dans leur immense majorité, composent à l'envi épigrammes, élégies ou odes. Le seul XVIe siècle comptera à lui seul, près de sept cents poètes latins !......
- CLÉMENT MAROT