Résultats pour "blanche"
- Clément Marot (1496-1544), "L'Adolescence clémentine", « L'Épître des jartières blanches »
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - La blanche Aminte
- Paul VERLAINE (1844-1896) (Recueil : Chansons pour elle) - Que ton âme soit blanche ou noire
- Balzac, Le Lys dans la vallée (La scène du bal, Félix de Vandenesse rencontre la comtesse Blanche Henriette de Mortsauf)
- Cécile SAUVAGE (1883-1927) (Recueil : Le vallon) - Ma tête, penche-toi sur l'eau blanche...
- Odilon-Jean PÉRIER (1901-1928) (Recueil : Le promeneur) - Les fontaines ornées d'écume et d'armes blanches
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Dans un parfum de roses blanches
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - L'aube blanche dit à mon rêve
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Vu que tu es plus blanche
- Antoine FAVRE (1557-1624) (Recueil : Les Entretiens spirituels) - Ô nuict, heureuse nuict, plus blanche que l'aurore
- François Scalion de VIRBLUNEAU (15xx-15xx) (Recueil : Les loyalles et pudiques amours) - Gentil tertre élevé sur la blanche poitrine
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - La maison serait blanche et le jardin sonore
- Balzac, Le Lys dans la vallée (La scène du bal, Félix de Vandenesse rencontre la comtesse Blanche Henriette de Mortsauf)
- Emile NELLIGAN (1879-1941) (Recueil : Motifs poétiques) - Tristesse blanche
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Dimanches
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Ses yeux
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Vieux quais
- Georges RODENBACH (1855-1898) (Recueil : La jeunesse blanche) - Béguinage flamand
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Au jardin de l'infante) - Nuit blanche
- Charles-Marie LECONTE DE LISLE (1818-1894) (Recueil : Chansons écossaises) - La chanson du rouet
- Gautier, Symphonie en blanc majeur, in Emaux et Camées
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Symphonie en blanc majeur
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Étudiez cette définition du romantisme que Musset met ironiquement dans la bouche d'un clerc d'avoué : « Le romantisme, mon cher monsieur, mais à coup sûr, ce n'est ni le mépris des unités, ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. Vous saisiriez vainement l'aile du papillon, la poussière qui le colore vous resterait dans les doigts. Le romantisme, c'est l'étoile qui pleure, c'est le vent qui vagit, c'est la nuit qui frissonne, la fleur qui vole et l'oiseau qui embaume ; c'est le jet inespéré, l'extase alanguie, la citerne sous les palmiers et l'espoir vermeil et ses mille amours, l'ange et la perle, la robe blanche des saules; ô la belle chose, monsieur! c'est l'infini et l'étoile, le chaud, le rompu, le désenivré, et pourtant en même temps le plein et le rond, le diamétral, le pyramidal, l'oriental, le nu à vif, l'étreint, l'embrassé, le tourbillonnant; quelle science nouvelle! » (Lettres de Dupuis et Cotonet, première lettre, 1836.) ?
[Introduction] Le drame romantique s'inscrit dans la rupture que les jeunes écrivains romantiques veulent marquer avec l'esthétique du classicisme. Dans cette mesure, on comprend que Musset s'insurge contre une tentative de définition réductrice d'un élan naissant : « Non [...], ce n'est ni le mépris des unités ni l'alliance du comique et du tragique, ni rien au monde que vous puissiez dire. » Mais, lui, le poète, peut tenter de dire l'indicible en multipliant les images, les antithèses, en évoq...