35 résultats pour "1911"
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - L'aveu
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) - Sonnet
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Dans vos yeux
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Renouveau
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Sur le pressoir
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Gueux
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) - L'habitude
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) - La Garrigue
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- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Le pauvre gars
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) - Sérénité
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) - Les caresses des yeux
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Chanson de Messidor
- Ernest d' HERVILLY (1839-1911) - The park
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Stances à la châtelaine
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Le deuil du moulin
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Sur la grand'route
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- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Un crêpe au bras
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - La chanson du gui
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Valse mystique
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Le vieux trouvère
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - La rose de l'absent
- Ernest d' HERVILLY (1839-1911) (Recueil : Les baisers) - Puérilités
- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Requiescat in pace
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) - La mort de Rollant
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- Gaston COUTÉ (1880-1911) - Les trois chansons du carillon
- Ernest d' HERVILLY (1839-1911) (Recueil : Le harem) - A la Lousiane
- Ernest d' HERVILLY (1839-1911) (Recueil : Les bêtes à Paris) - Zèbre
- Ernest d' HERVILLY (1839-1911) (Recueil : Les baisers) - Sur le pont d'Iéna
- Saint-John Perse, "La Ville", Images à Crusoé (Éloges, 1911).
- Auguste ANGELLIER (1848-1911) (Recueil : Le chemin des saisons) - Le faisan doré
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) (Recueil : Ciel, rue et foyer) - Les papillons
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) (Recueil : Ciel, rue et foyer) - Vers pentédécasyllabiques
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- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) (Recueil : Ciel, rue et foyer) - Clair de lune dans Paris
- Louis-Xavier de RICARD (1843-1911) (Recueil : Ciel, rue et foyer) - J'admire, dédaigneux des vagues mélopées
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Robert Musil
Robert Musil Quand le romancier autrichien Robert Musil mourut en exil à Genève, âgé de soixante-deux ans (on était en 1942), l'événement ne fit guère de bruit dans un monde où son nom était oublié ou inconnu, ses oeuvres presque introuvables. Peu auparavant, il avait écrit non sans amertume à l'un de ses rares amis d'exil, le pasteur zurichois Robert Lejeune : "Devoir attendre sa mort pour pouvoir vivre, quel tour de force ontologique !" Quelques années plus tard, un grand article du Times ina...