413 résultats pour "1802"
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Le couchant flamboyait à travers les bruines
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Un groupe tout à l'heure était là sur la grève...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Regardez : les enfants se sont assis en rond
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Insondable, immuable, éternel, absolu
- Victor Hugo (1802-1885), « Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir », Les Voix intérieures (1837).
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les rayons et les ombres) - Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Vision sombre ! un peuple en assassine un autre
- Victor Hugo (1802-1885), Les Voix intérieures (1837), XXVII « Après une lecture de Dante »
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La légende des siècles) - Le sacre de la femme - Ineffable lever...
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - En marchant la nuit dans un bois
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Dicté en présence du glacier du Rhône
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Ô Charles, je te sens près de moi...
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Un grand sabre serait d'utilité publique
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou.
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Chanson (Proscrit, regarde les roses...)
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Le poète bat aux champs
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les châtiments) - C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Je prendrai par la main les deux petits enfants
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Les enfants lisent, troupe blonde
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - La pauvre fleur disait au papillon céleste
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Jour de fête aux environs de Paris
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : La fin de Satan) - Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chansons des rues et des bois) - Depuis six mille ans la guerre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les voix intérieures) - Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Ecrit après la visite d'un bagne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Toute la lyre) - Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les chants du crépuscule) - Les autres en tout sens laissent aller leur vie
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les feuilles d'automne) - Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Dernière gerbe) - Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !
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- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les quatre vents de l'esprit) - Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble