1757 résultats pour "c+est+a+dire"
- La télévision est-elle le pire ou le meilleur des moyens d'information ?
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Les exilés) - Les torts du cygne
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'année terrible) - 1er janvier
- Tristan CORBIERE (1845-1875) (Recueil : Les Amours jaunes) - Pauvre garçon
- Jacques Vallée Des Barreaux, La vie est un songe
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies posthumes) - Rondeau : A Madame H. F.
- Jean de SPONDE (1557-1595) - Il est vrai, mon amour était sujet au change
- Pierre de RONSARD (1524-1585) (Recueil : Second livre des Amours) - Je ne suis seulement amoureux de Marie
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- Le dilemme de Chimène (Corneille, Le Cid, 1637, Acte III, scène 3)
- Georges de SCUDÉRY (1601-1667) - Pour une Dame qui filait
- Jacques Vallée DES BARREAUX (1599-1673) - La vie est un songe
- Marceline DESBORDES-VALMORE (1786-1859) (Recueil : Elégies) - Hiver
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : L'art d'être grand-père) - Et Jeanne à Mariette a dit
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre XIII.
- Jean Anouilh (1910-1987), Antigone (1944).
- Christophe PLANTIN (1514-1589) - Le bonheur de ce monde
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- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - Hé ! qu'est cela, Seigneur ? ...
- Charles BAUDELAIRE (1821-1867) (Recueil : Les fleurs du mal) - Le rêve d'un curieux
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Lamartine- Odes politiques
On distinguera : I. — LA PART DE POÉSIE : Il faut avouer que le lyrisme, au sens habituel du mot, est absent : aucun sentiment tendre. Seule l'éloquence, et une éloquence épique, en tient lieu. Du reste il s'agit d'une ode et d'une ode impersonnelle. Ce qui donne le change c'est le ton enflammé (le "moi" de Lamartine est donc présent) et l'emploi du vers. II. — LA PART D'ÉLOQUENCE : A. — Lamartine soutient une thèse dont il tire deux conséquences : a) — — — — fins La thèse : il y a un progrès...
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) - L'inspiration
- Antoine de NERVÈZE (1570-1622) - J'aime la solitude et me rends solitaire
- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Qui est ami du coeur est ami de la bourse
- Albert SAMAIN (1858-1900) (Recueil : Le chariot d'or) - Une douceur splendide et sombre
- Claude LE PETIT (1638-1664) - Le poète crotté
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- Joachim DU BELLAY (1522-1560) (Recueil : Les Regrets) - Je ne découvre ici les mystères sacrés
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours d'Hippolyte) - Quand je pouvais me plaindre en l'amoureux tourment
- Philippe DESPORTES (1546-1606) (Recueil : Les amours de Diane) - Éloignant vos beautés, je vous laisse en ma place
- Molière Dom Juan, Acte I, Scène première Sganarelle, Gusman.
- Théophile GAUTIER (1811-1872) (Recueil : Emaux et camées) - Vieux de la vieille
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Aragon, « Prose d'Elsa »
La célébration de la femme comme amante et comme muse inspiratrice est un des grands thèmes lyriques de la poésie. Chez Aragon cependant, le motif connaît une richesse particulière. Le poète en effet dès sa rencontre en 1928 avec la romancière russe Elsa Triolet ne cesse de la célébrer au fil de divers recueils comme Le Cantique à Elsa ou Les Yeux d'Elsa. Le poème est ici extrait d'un recueil autobiographique Le Roman inachevé, publié en 1956, qui retrace par fragments le cheminement affectif, s...
- Clément MAROT (1497-1544) (Recueil : L'Adolescence clémentine) - Des trois couleurs, gris, tanné et noir
- Etienne de LA BOETIE (1530-1563) (Recueil : Vingt neuf sonnetz) - Or, dis je bien, mon esperance est morte
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Stances et poèmes) - La chanson de l'air
- Victor HUGO (1802-1885) (Recueil : Les contemplations) - Les femmes sont sur la terre...
- Alphonse BEAUREGARD (1881-1924) (Recueil : Les forces) - Le passé
- La conception de la passion, l'expression du sentiment et de l'émotion à travers l'oeuvre. Comment interpréter le sacrifice de Mme de Clèves ?
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies posthumes) - A George Sand (IV)
- Charles CROS (1842-1888) (Recueil : Le coffret de santal) - Conseil
- Émile Zola, L'Assommoir, chapitre IX
- Laclos, Les Liaisons dangereuses, lettre XIV
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Dans quelle mesure un personnage médiocre devient-il un héros de roman ?
Remarques préalables Pourquoi ce sujet? parce que la tendance du roman contemporain est de mettre en scène des êtres ordinaires représentant l'humanité moyenne. Pourquoi y a-t-il là un problème? C'est parce que le roman, à son origine et pendant très longtemps, s'était construit autour de personnages hors du commun. Les romans d'aujourd'hui sont-ils encore des romans? Cette métamorphose du personnage dans le roman actuel, notamment dans le « nouveau roman », est-elle un progrès ou un appauvrisse...
- Théodore de BANVILLE (1823-1891) (Recueil : Odes funambulesques) - La ville enchantée
- Jean GOUDEZKI (1866-1934) - Invitation
- Jean-Pierre Claris de FLORIAN (1755-1794) (Recueil : Fables) - L'auteur et les souris
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A la Malibran
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - La fille de Jephté
- Alfred de MUSSET (1810-1857) (Recueil : Poésies nouvelles) - A M. V. H.
- Remy de GOURMONT (1858-1915) (Recueil : Les divertissements) - Oraisons mauvaises
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- Jean de LA FONTAINE (1621-1695) (Recueil : Les Fables) - Le Cierge
- Jules LAFORGUE (1860-1887) (Recueil : L'Imitation de N.D la Lune) - Dialogue avant le lever de la lune