213 résultats pour "1873+1907"
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Goûte, me dit le Soir de juin avec douceur
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Le soir léger, avec sa brume claire et bleue
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - Le temps n'a point pâli ta souveraine image
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Pour couronner la blonde enfant aux yeux d'azur
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Un soir, au temps du sombre équinoxe d'automne
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Le tiède après-midi paisible de septembre
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ah ! Seigneur, Dieu des coeurs robustes, répondez
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le coeur solitaire) - Parfois, sur les confins du sommeil qui s'achève
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- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : L'homme intérieur) - L'ambre, le seigle mûr, le miel plein de lumière
- Charles GUÉRIN (1873-1907) (Recueil : Le semeur de cendres) - Ô jeunesse, fervent et clair foyer d'amour
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Mathilde Verlaine
Mathilde Verlaine 1853-1914 Mathilde Mauté de Fleurville avait dix-sept ans quand elle épousa Verlaine. Fut-il dès le début ivrogne et brutal ? Et, s'il a voulu le faire croire (dans ses Confessions), n'est-ce pas pour se créer un alibi — ou en procurer un à Rimbaud ? Car Madame Verlaine est formelle : c'est après l'arrivée de l'Ange androgyne que les scènes ont commencé. Il y en eut d'atroces, comme celle de leur bébé pris par le pied et lancé contre le mur (ce fils de Verlaine devait finir poi...
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Résumé: La Naissance du jour de COLETTE
La Naissance du jour de COLETTE « Je voudrais dire, dire, dire tout ce que je sais, tout ce que je pense, tout ce que je devine, tout ce qui m'enchante et me blesse et m'étonne » : ainsi s'exprimait Colette (1873-1954) dans les premières pages des Vrilles de la vigne (1908). Pareille au rossignol pris dans les vrilles de la vigne et qui pousse son premier chant effrayé et naïf, Colette a fui certaines entraves, jetant tout haut une plainte qui lui révélait sa voix. Au cœur de sa vie, la cinquant...
- Albert GLATIGNY (1839-1873) - Epitaphe
- Albert GLATIGNY (1839-1873) - Circé
- Tristan Corbière, Les Amours jaunes, 1873.
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Tristan Corbière, « Le crapaud », Les Amours jaunes, 1873.
Introduction Souvent les poètes se comparent à un oiseau qui chante (« L'Albatros » de Baudelaire, le cygne dans « Le vierge, le vivace, le bel aujourd'hui... » de Mallarmé, etc.). Dans Les Amours jaunes, Tristan Corbière renouvelle cette vieille métaphore en s'assimilant à un crapaud. A l'évocation de l'animal réel se superpose l'image du poète ; la métaphore crée un symbole qui exprime la conception désespérée que Tristan Corbière a de sa condition d'homme et d'artiste. I. L'évocation du crapa...
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- André THEURIET (1833-1907) - La chanson du vannier
- Zola, Le Ventre de Paris, 1873 (Les Halles de Paris)
- COLETTE (1873-1954), Les Vrilles de la vigne, 1908
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) - La barque d'or
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) - L'inspiration
- Albert GLATIGNY (1839-1873) (Recueil : Les Vignes folles) - Rondel
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - L'attente
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - La mort
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- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Entrevisions) - L'adieu
- Albert GLATIGNY (1839-1873) (Recueil : Les Vignes folles) - Pantoum
- Albert GLATIGNY (1839-1873) (Recueil : Les Vignes folles) - Les bohémiens
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Ô ma parole
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - L'une d'elles
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Comme elle chante
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Soupir
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Scrupule
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Les stalactites
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : Poèmes posthumes) - Songe
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Epaves) - L'indulgence
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Epaves) - La musique
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Epaves) - La jacinthe
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La mer
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La pensée
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Le réveil
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- Joris-Karl HUYSMANS (1848-1907) (Recueil : Le drageoir aux épices) - L'extase
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Ne nous plaignons pas
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Comme une branche d'aubépine
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - La bouture
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Mars
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Déception
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Epaves) - Le pardon
- Charles VAN LERBERGHE (1861-1907) (Recueil : La chanson d'Eve) - Roses ardentes
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- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Stances et poèmes) - Ici-bas
- René-François SULLY PRUDHOMME (1839-1907) (Recueil : Les solitudes) - Le volubilis