Zoé FLEURENTIN (1815-1863) - Sur la lyre tissant mes douces mélodies
Extrait du document
Zoé FLEURENTIN (1815-1863) - Sur la lyre tissant mes douces mélodies Sur la lyre tissant mes douces mélodies, Tantôt j'ai fait gronder un hymne à la vertu ; Et tantôt, soupirant, mes lèvres moins hardies Ont tout bas murmuré : " Printemps, que me veux-tu ? " Restant toujours fidèle à l'essaim de mes rêves, Jamais je n'ai maudit l'extase de l'amour, Ni condamné ceux qui, dans des heures trop brèves, Prononcent des serments qu'ils oublieront un jour.
Liens utiles
- Le débat sur la distinction « drogues dures/drogues douces » est-il fondé ?
- Vigny (1797-1863) LA MAISON DU BERGER Poème du recueil posthume Les Destinées, fragment (vers 22 à 42)
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Poèmes antiques et modernes) - Les amants de Montmorency
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Autres poèmes) - L'esprit parisien
- Alfred de VIGNY (1797-1863) (Recueil : Les Destinées) - La mort du loup